Audrey
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
coupfoudr,
amiamour,
... mésaventure du hall de l’hôtel, les caresses qui s’ensuivent n’épargnent pas un millimètre carré de peau. Nos prospections sont osées, coquines à souhait et nul besoin de préservatifs durant le premier acte. Elle orgasme bruyamment lors de l’incursion vicieuse de ma langue sur son fruit juteux et j’éjacule sans honte entre ses doigts habiles. Aucune pause, nos langues s’emmêlent et il ne me faut pas plus de cinq minutes (un nouveau record pour moi) pour être à nouveau opérationnel. Avec avidité je glisse ma bouche sur les deux fantastiques mamelles que je lèche et suce avec application, en m’attardant particulièrement sur les larges aréoles. La peau est, à cet endroit, légèrement grumeleuse et couleur chocolat, les tétons bien dressés ne demandent qu’à fondre dans la bouche. Deux mains m’attrapent le visage et le poussent vers l’affolante jungle. Langue en éclaireur, je m’en vais fouiller avec gourmandise les chairs tendres et humides. Rien n’est épargné, les lèvres sont aspirées, le clitoris titillé, les orifices visités. Audrey me fait savoir qu’elle est prête et me demande de m’allonger sur le dos. La tête bien calée sur le traversin je la regarde s’amuser de mon vit dressé, puis appliquer quelques caresses de la bouche tandis que ses ongles déchirent délicatement l’emballage d’un préservatif. Celui-ci est déroulé sur toute sa longueur, laissant un petit ourlet à la base de ma verge. Elle s’approche à quatre pattes et sa bouche coquine vient se souder à la mienne tandis ...
... qu’elle s’assied sur ma chair. J’entre en elle sans difficulté tant son puits est lubrifié, bien calé dans son antre je commence à bouger le bassin pendant que le sien monte et descend. Pour une première fois ensemble c’est une réussite, nos corps bougent à l’unisson, chacun ayant envie de faire plaisir à l’autre. C’est génial de trouver une partenaire avec laquelle tout se passe comme si l’on se connaissait depuis des années. Je me calque sur ses gémissements pour aller à sa rencontre et ainsi amener mon gland au plus profond de ses chairs. Empalée, elle se redresse à la verticale pendant que mes mains malaxent sa poitrine. La tête rejetée en arrière, Audrey ondule son postérieur en poussant de longues plaintes, je suis fichée en elle avec l’impossibilité de partir. C’est elle qui maîtrise à présent, l’orgasme arrive, fulgurant, sa respiration est saccadée lorsqu’elle se jette à mon cou pour me donner un long baiser. Sa bouche quitte mon visage pour aller jouer avec mon oreille et me susurrer : — Tu n’es pas venu, mon grand ?— Eh non…— Ne sois pas triste, je vais m’occuper de toi. Proposition alléchante surtout que lorsque je chausse un préservatif je suis un super héros. Je ne dis pas ça pour me vanter mais ironiquement. Je sais que beaucoup d’hommes débandent lorsqu’ils enfilent un préservatif, je n’ai pas ce souci, par contre je ne ressens pas grand-chose, j’ai l’impression d’avoir le gland sous anesthésie. Voilà pourquoi avec un condom, je peux tenir très longtemps sans ...