1. Audrey


    Datte: 10/10/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, coupfoudr, amiamour,

    ... très rapide pour vérifier que c’est bien moi ; elle m’attendait et continue de chanter les mains battant au-dessus de la tête. N’étant pas un fan de ce genre de musique, je suis quand même entraîné par la bonne humeur ambiante, l’énergie dégagée par le grand dégingandé est communicative, la foule danse à l’unisson. Je commence à me rapprocher de celle qui est entre mes mains lorsque le morceau Big girl (you are beautiful) débute. La ronde entre en transe, colle son postérieur sur mon bas-ventre et chaloupe son bassin en hurlant les paroles. Il ne se passe pas trente secondes entre ce moment et celui où mon boxer devient trop étroit, par réflexe mes mains remontent pour venir se frotter aux bonnets qui coiffent l’imposante poitrine. Elle n’a pas le moindre geste de recul, au contraire elle accentue le mouvement de sa danse, faisant rouler ma verge gorgée de sang entre ses fesses bombées. Mes doigts tarabustent les protubérances durcies qui tentent de traverser les fines étoffes. Je n’ai pas le temps de m’amuser avec elles qu’Audrey exécute un demi-tour, et la bouche près de mon oreille me dit, enfin elle crie plus qu’elle ne parle : — Je suis venue pour le concert, alors la récréation est finie ! J’ai été tellement frustré par la soudaineté de sa réaction que ma première pensée a été : quelle allumeuse ! Mais j’ai vite été soulagé car la miss s’est retournée plusieurs fois en me gratifiant d’un superbe sourire assorti de regards pétillants. Ne pouvant profiter pleinement de ...
    ... la musique, elle préfère se priver d’attouchements coquins. J’aurais bien aimé continuer… Fin du concert, toute la salle s’égosille pour que la brindille bondissante revienne sur scène et pour notre bon plaisir, Mika revient pour trois morceaux supplémentaires. En sueur nous suivons la foule vers la sortie mais avant de rejoindre l’air libre nous faisons une pause à la buvette pour nous rafraîchir. Une grande bouteille d’eau minérale, achetée au prix du champagne, passe l’arme à gauche en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Mon esprit coquin revient à la réalité et fait baisser mes yeux sur le corsage trempé. Le haut est littéralement collé par l’humidité sur la lingerie, celle-ci a du mal à contenir la poitrine qui a été fortement secouée durant l’heure et demie de danse effrénée. — Il faudrait que je remette tout ceci en ordre, me dit-elle mutine, mais on verra plus tard. Ce n’est pas grave si je laisse tout en l’état ?— Euhhh, parfait, c’est parfait !— Bien… Audrey tire sur le bas de son caraco, comme si elle voulait qu’il recouvre ses cuisses, ce qui a pour effet de faire bondir ses seins presque hors de leur logement. J’arrive à distinguer la large auréole brune sur le mont de gauche, mais elle ne me laisse pas le temps de m’attarder, deux mains placées derrière ma nuque m’attirent vers les lèvres pulpeuses. J’ai l’impression que ce baiser était attendu depuis des mois, il est long, passionné, trop peut être au goût de certains spectateurs dont j’entends dans le ...
«1...345...18»