1. Audrey


    Datte: 10/10/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, coupfoudr, amiamour,

    ... un de ces hôtels bas de gamme de bord d’autoroute, c’est pas le top mais les chambres sont plus spacieuses, un vrai lit avec de vrais draps, sans l’immonde mezzanine une place au-dessus de la tête. Les sanitaires ne sont pas sur le palier et l’accès des chambres se fait par l’extérieur. La belle Audrey est toujours torse nu ; pendant qu’elle se garait, j’ai pris les maigres affaires sur la banquette arrière et je suis sorti payer. Elle m’a suivi en râlant pour que je lui rendre ses fringues mais l’envie de la voir la poitrine à l’air a été la plus grande. Elle a froid, râle en essayant de me prendre les habits, mais je tiens bon jusqu’à ce que l’on entre dans ce qui sera notre nid douillet durant le reste de la nuit. J’essaie de l’enlacer, elle me repousse gentiment mais fermement en me reprochant, à raison, de l’avoir forcée à s’exhiber alors qu’elle avait froid. Elle a même ajouté, une humeur coquine dans le regard, que si je lui avais demandé elle l’aurait sûrement fait, mais qu’elle n’aime pas qu’on lui impose de cette manière. Face à moi, la peau recouverte de chair de poule, Audrey me demande d’aller chercher son sac à main qu’elle a oublié dans la voiture, bien entendu en contrepartie il faut que j’enlève quelques vêtements. Houla, ça se corse, je vais être pris à mon propre jeu, chaque fois qu’elle me demande de quitter un vêtement je m’exécute en essayant de trouver une parade pour ne pas sortir. Je suis en caleçon et chaussettes, elle me regarde goguenarde, sa ...
    ... peau ayant retrouvée sa couleur méditerranéenne. — Boxer ! dit-elle simplement avec l’index droit montrant le sol. Les deux mains sur l’élastique, je descends lentement le vêtement en me penchant, lorsque je me redresse en lançant le caleçon au fond de la pièce, j’arbore une belle érection mais elle n’y jette qu’un regard dédaigneux. — Bottes ! Habillé de cuir jusqu’à mi-mollet, j’attends le moment fatidique, résigné car je n’ai rien trouvé pour m’y soustraire. Une petite attente avant qu’elle ne s’approche et me demande tout gentiment si je veux bien aller chercher son sac à main avec une petite caresse sur la fesse pour me motiver. Les clefs en main j’ouvre la porte et m’engouffre sur le palier extérieur en essayant de rester digne ; par contre, dès que la porte est fermée, je cours au rez-de-chaussée jusqu’à l’emplacement du véhicule. Autant vous dire que le froid a eu raison de mon excitation ; penché dans la voiture je cherche le sac qui s’était glissé sous le siège conducteur. Le précieux sac dans les mains je monte quatre à quatre l’escalier et tourne la poignée. Évidemment, comme je le pressentais la porte est fermée, je me creuse les méninges mais impossible de me souvenir du code d’entrée. Le froid et l’humidité me transissent, je grelotte en tapant fébrilement des codes sur le clavier situé au niveau de la poignée. Enfin la porte s’ouvre et la jolie brune m’ouvre, enveloppée d’un drap de bain et les cheveux mouillés. Tu serais vraiment adorable si tu pouvais aller ...
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