Audrey
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
coupfoudr,
amiamour,
... chercher une brosse à dents dans le Distributeur de l’entrée. Il y a en a un, je l’ai lu sur la brochure et il y a des sous dans le porte-monnaie que tu trouveras dans mon sac, dit-elle sans me laisser parler avant de verrouiller la porte. Pris au piège je suis, si je veux à nouveau entrer dans la chambre il va falloir que je retourne en bas. Je dévale les escaliers, devant l’entrée je pousse une des baies vitrées, ouf elle s’ouvre, j’arrive dans un hall et je longe l’un des murs jusqu’aux distributeurs. Je fouille dans le sac accroupi dans un coin, pour ne pas être vu au cas où. Je trouve rapidement le porte-monnaie dans le fourre-tout. Je me redresse et regarde les distributeurs, j’insère les pièces et tape les références pour que les objets tombent. J’ai pris aussi quelques bricoles à grignoter mais je n’ai rien pour les porter. Tous les petits paquets dans les bras je m’en vais vers la sortie, je ne suis pas stressé car depuis presque dix minutes il n’y a pas un bruit donc je pense être seul. C’est lorsque je me trouve devant la porte vitrée que je vois un couple face à moi. La trentaine, les bagages à la main, ils me regardent sans bouger, les yeux exorbités. Malgré ma nudité et le sang montant au visage, je leur fais signe du menton pour qu’ils m’ouvrent, c’est elle qui utilise la poignée et pousse le battant. Après un sérieux bonsoir et merci, je sors sous les regards inquisiteurs. Je fais le fier, mais je suis liquide à l’intérieur et de plus, le froid aidant, mon ...
... fier bâton n’est plus qu’un bout de chewing-gum ratatiné auquel sont accrochées deux noisettes flétries. Mais bizarrement cette situation ne m’a pas dérangé, bien au contraire, la seule chose qui me chiffonne c’est que mon pénis ne soit pas dans de meilleures dispositions (fierté masculine). La montée se fait à allure normale, je ne me presse plus et je me surprends à vouloir être de nouveau vu. Je toque et Audrey m’ouvre instantanément en m’accueillant la serviette enroulée au-dessus de la poitrine et retombant au milieu des cuisses. — Je vois que Monsieur a pris ses aises et a dilapidé mes euros !— J’ai pensé que tu aurais envie de grignoter, réponds-je (pas terrible ça) penaud.— Tu penses, tu penses, mais pas à l’essentiel… Enfin… Entre quand même. Heureux de pouvoir me réchauffer et surtout de m’être racheté de ma bourde même si sa dernière phrase me tracasse, je ne comprends pas ce que j’ai oublié. Pourtant il me semble avoir pris l’essentiel et même le superflu, c’est ce que j’essaie de lui faire comprendre. La femme pulpeuse s’approche et un souffle chaud me murmure à l’oreille : — Et les préservatifs ?— Avec le reste, lui dis-je en montrant les denrées jetées sur le lit. Elle fouille en se penchant négligemment afin que je puisse admirer le haut de ses jambes, mon entrecuisse sort de sa torpeur. Malheureusement la moue affichée sur son visage fait retomber la pression, la demoiselle n’a pas trouvé la boîte contenant la demi-douzaine de condoms. Je les ai achetés, je suis ...