Voyage en Ovalie
Datte: 08/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
... Un à un, les joueurs sortent, et à chaque fois, une des groupies se précipite vers lui. Lorsque Kamel sort, je n’ose cette manifestation de complicité. Il regarde les supportrices, me reconnaît, me lance un beau sourire et vient vers moi. — Je savais que tu viendrais ! me glisse-t-il en me prenant par le coude. Tu es en voiture ?— Oui.— Allons-y, alors. Une fois installé dans ma voiture, il me lance cette remarque qui me fait piquer un horrible fard : — Dans ce stade, les vestiaires ne permettent pas de mater les joueurs à poil ! Il m’explique que nous allons fêter la troisième mi-temps dans une taverne pas trop éloignée. Je sens qu’il m’observe du coin de l’œil tout en me guidant. Le visage, la poitrine, les cuisses. Je me sens mal à l’aise. La fête a lieu dans une vaste cave aménagée au sous-sol de la taverne. Il y a déjà une vingtaine de couples, qui chantent, dansent et se trémoussent. Kamel me tient par la hanche et me présente au bar à ses copains. J’ai droit à quelques remarques du genrepas mal ta nouvelle copine ouelle est gironde, ton Élodie, mais aussi tu fais dans la couguar, maintenant ! À sa manière de poser une main de propriétaire sur ma hanche, je devine chez lui une certaine satisfaction de s’afficher avec moi. Est-ce à cause de notre différence d’âge ? Il est vrai que mon tailleur chic détonne avec la tenue des autres filles, en jean et t-shirt, et me vieillit alors qu’il me semble déjà être la plus âgée de la fête ! Mon cavalier m’entraîne sur la piste de ...
... danse. A-t-il deviné que j’adorais danser, et que depuis la naissance de mes enfants, je n’avais guère pratiqué ? Le DJ est super, et les mouvements de foule m’éloignent par moment de mon jeune partenaire. Qu’il est bon de laisser son corps vibrer au son de la musique ! La soirée bat son plein, il est déjà deux heures du matin, la cave est maintenant pleine à craquer ! Visiblement, l’alcool coule à flot (sangria, whisky), et les rugbymen ont soif. Me connaissant, je me limite à deux verres de sangria, malgré de multiples sollicitations de la gent masculine. Je réalise que certaines des filles n’ont pas ma retenue, et l’une d’entre elles, passablement saoule, ébauche un effeuillage, encouragée par les garçons. Ceux-ci se sont désinhibés, et j’ai droit à des mains baladeuses, des frottis ou des propositions salaces sans que Kamel réagisse. J’ai du mal à me défendre sur la piste de danse. Mais je suis assaillie lorsque je rejoins le bar. Le seul havre de tranquillité c’est les toilettes bien qu’il faille faire la queue pour accéder à un miroir. Le bruit est tel que je n’ai pu échanger que quelques mots avec mon cavalier. Je l’observe du coin de l’œil. Il est visiblement plus à l’aise sur un terrain de rugby ou derrière un comptoir de bar que sur un rythme disco. Je suis comme dans une bulle, ayant rejoint un homme qui m’avait surprise devant le soupirail d’un stade, et me retrouvant avec lui dans une soirée sans même savoir de lui autre chose que son prénom ! Dans quel guêpier me ...