1. Voyage en Ovalie


    Datte: 08/09/2017, Catégories: fh, fplusag, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession,

    ... suis-je fourrée ? Je commence à fatiguer et informe mon compagnon de mon souhait de rentrer chez moi. Il me demande d’attendre un peu, va saluer quelques potes avec moi et me rejoint. Une fois assis dans la voiture, je lui demande : — Vous jouez au rugby deux fois par semaine ?— Oui, me répond-il, quand je le peux, et c’est rare. Mais le samedi, c’est en universitaire ; le mercredi, c’est avec mes potes de la commune.— Vous êtes étudiant ?— Oui, en cinquième année de médecine. Je veux être urgentiste. On va chez toi ? Sa proposition me fait sursauter. D’abord, depuis mon divorce, j’évite de recevoir mes rares partenaires chez moi, domaine réservé à mon univers de maman. Ensuite, je me demande s’il est bien raisonnable de coucher avec ce garçon, si jeune, que j’ai connu dans d’étranges circonstances. Cependant, je sors d’une longue période de chasteté, et Kamel me fascine étrangement. Son look de mauvais garçon, l’autorité qu’il a manifestée, l’aura qu’il dégage me troublent. Je lui réponds : « juste pour un verre » en me doutant de l’ambigüité d’une telle proposition. Je l’interroge sur son identité. Il a tout juste 24 ans, il est né près du centre sportif. Son père est fils de harki, sa mère bretonne de Quimper. Il a trois sœurs aînées. Une fois chez moi, je lui sers un whisky pendant qu’il regarde les photos des enfants. Lorsque je le rejoins dans le salon, il m’ordonne : — Déshabille-toi, c’est à mon tour de te voir nue ! Je sursaute, et, sans trop savoir pourquoi, ...
    ... j’obtempère. Avec lenteur, j’ôte ma veste, déboutonne mon chemisier, fais glisser ma jupe, et me retrouve en dessous devant lui, le narguant du regard. — Tu es drôlement bien fichue, Élodie. Tu as tapé dans l’œil de mes potes ! Mais j’ai dit toute nue… Mes dim-ups roulent sur mes jambes, mon soutien-gorge est dégrafé, mon shorty glisse au sol. Je continue à fixer son incroyable regard noir. Il m’attire contre lui, ses mains partent à la découverte de mon corps. Elles sont douces, lascives, sensuelles. L’une m’enserre le cou comme pour s’assurer de ma docilité, l’autre empaume un sein. Je suis un peu tendue. Ses doigts jouent avec mon téton, le tirent, le font rentrer, puis rouler. Sa bouche vient s’y poser, il me tète comme un bébé. Je frissonne sous ses caresses, je suis bien, je me blottis contre lui. J’aime la caresse de ses vêtements contre ma peau nue. Soudain, il me repousse, éloigne son visage, fixe mon buste et me susurre : — Tu as des seins magnifiques ! Puis il m’attire à lui et pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue me pénètre comme un petit sexe. Il embrasse particulièrement bien, lèche mon palais, mélange nos langues. Je craque, tant d’hommes ignorent l’art du baiser. Il se rend compte de mon abandon progressif, mon corps se ramollit. Sa main descend lentement vers mon ventre, il taquine les poils de mon ticket de métro. J’ai envie de ses doigts en moi et tends le bassin vers lui. Mais il a décidé de me faire languir et part explorer mes fesses. Il les empaume, les ...
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