La Parabole du combiné-gaine
Datte: 13/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... froissée sous elles et ses bas exposant le désordre de leur couture et de leurs plis. Seule, elle serait aller s'asseoir sur le bidet. Mais elle n'osa ce qu'elle considérait comme une humiliation devant son chef. Lui se délectait de ce spectacle inédit. La lumière rouge clignotante de l'enseigne accentuait l'étrange sensualité de la vue de sa secrétaire dans cet étalage qui aurait pu paraître grotesque sans le côté dramatiquement profond du contexte. Christine, comme un papillon de nuit attiré par la lumière rouge clignotante de l'enseigne, s'approcha de la fenêtre et resta ainsi immobile, délicieusement indécente face au silence de la rue. Paul se leva et vint se placer debout derrière elle. Il n'avait pas arrêté de bander depuis qu'il avait retiré sa bitte d'entre les cuisses de la belle secrétaire. Le bout de son gland se posa sur les reins et il sentit sur son gland le tissu élastique rêche du bas du combiné. Il la saisit fermement aux hanches ce qui la fit se cambrer instantanément et langoureusement, lui indiquant par là que son corps, un instant épuisé, n'avait pas perdu l'envie de l'oubli des privations. Il remonta ses larges mains sur les flancs pour venir envelopper les seins où il eut la satisfaction de découvrir que les tétons, toujours aussi turgescents, l'attendaient. Christine se plia sans déplaisir à ses gestes dont la précision imposait sa prééminence à la tendresse. Il tira immédiatement sur l'épaisse fermeture éclair, nichée au creux des globes, dernier ...
... vigile d'une poitrine épanouie qui étala sa candeur dans la semi-pénombre de la fenêtre, se laissant baigner par la lumière intermittente de l'enseigne infamante de rouge. La femme frémit en voyant, sur la vitre, le reflet de ses seins qui s'écartaient en poires gonflées de constitution parfaite avec leurs pointes rosées et dardantes. Il lui sembla apercevoir à une fenêtre en face d'elle un rideau s'écarter devant une ombre curieuse. Mais les mains de Paul écartant sur ses épaules le combiné, pour tirer de cette armure élastique son corps brûlant et laiteux, lui fit basculer son visage en arrière de soulagement. Elle cherchait son visage en vain. Habilement il détacha les jarretelles et le dernier obstacle tomba à leurs pieds. Le corps plantureux et nu de Christine voulut se retourner, mais il la maintint ainsi dans cette posture impudique, face à la rue déserte… peut-être… Elle accepta docilement sa volonté. La queue de son patron vint se loger sous ses grosses fesses moelleuses. Elle se surprit à se cambrer pour appeler le gland de sa motte gonflée et luisante encore, tandis que ses seins, majestueusement tendus, éclataient leur majesté face à toutes les fenêtres apparemment aveugles de la rue. Un gémissement sourd, sorti de la gorge de Christine quand le pieu retrouva son antre gourmande, et se mit à la pilonner sans retenue. Il tenait fermement les hanches de la femme et tripotait avec malice les délicats bourrelets. Elle acceptait la queue en toute symbiose avec son désir ...