1. Dame Erika (19)


    Datte: 17/10/2019, Catégories: Hétéro

    ... d’expérience, donc je suis restée en haut à attendre. Enfin, pas tout à fait : avec Alice, on a fait une rencontre ; même deux, et on a visité le château. — Ils étaient bien, au moins ? — Euh…oui très. Il y avait Renaud et Étienne ; je crois qu’Alice a craqué sur Renaud. Ils nous ont raconté une histoire de fantômes. Ensuite il y a eu un orage terrible ; ça a fait un boucan du diable avec des éclairs partout, et tout. Erika, Tina et Tom qui étaient avec vous sont remontés en quatrième vitesse ; ils ont eu la trouille de leur vie ! Ils nous ont raconté que pour déconner ils t’ont attaché sur une table d’écartèlement et qu’Élise était restée blottie sur un gros fauteuil dans la salle ; elle ne voulait plus bouger. Comme il pleuvait tellement, on a pensé que vous pouviez attendre, parce qu’avec nos robes légères, une fois mouillées ou rien sur le dos, cela aurait été pareil, si tu vois ce que je veux dire. — Et vous m’avez laissé comme ça ? — Quand la pluie a cessé au bout de quatre heures, Renaud et Étienne sont descendus ; ils sont remontés cinq minutes plus tard, morts de rire avec ça ! Elle me tend son portable ; je regarde la photo : moi attaché sur la table, endormi. Puis une vidéo ou je ronfle comme un cochon. Elle continue son explication : — Je ne sais pas si tu as abusé du vin d’hypocras ou quoi ; il est très bon, mais je crois qu’il tape un peu : impossible de te réveiller, donc on t’a laissé dormir. En fin de soirée, les gars nous ont aidées à te transporter ...
    ... jusqu’ici, voilà. Maintenant, je voudrais bien savoir pourquoi tu étais agité comme un diable cette nuit : tu n’as pas arrêté de bouger, et surtout de bander. Remarque, je n’ai eu qu’à me servir : je me suis fait plaisir, et par tous les trous si tu veux savoir. Je me rappelle parfaitement ce que j’ai vécu dans mon aventure ; il y aurait donc du rêve et de la réalité ? Je fais le tri dans ma tête. Le début, j’y suis. — Avec Erika, Élise, Tina, Tom, nous sommes descendus dans la salle de torture. J’ai allumé les torches… Je raconte tout. Julie me caresse tendrement, écoute sans rien dire. Mes souvenirs remontent les uns après les autres ; par moments, je bande comme un Turc. — … et voilà, tu sais tout, ma chérie. Julie reste sans voix. Elle vient se blottir contre moi. Je passe ma main dans son entrejambe qui est inondé. Le câlin du réveil se transforme en une véritable joute lorsqu’elle me dit : — Fais-moi comme à Dame Erika ; ton rêve m’a terriblement excitée… Fais-moi l’amour comme une bête ; sois fort, brutal ! Encule-moi ! Demandé comme ça, moi je ne résiste pas. Une vraie capote, et en avant, guerrier, fonce ! J’embroche sauvagement à la hussarde Julie qui est à quatre pattes, je lui pilonne le vagin ; son orgasme est immédiat. Ses seins qui pendent battent la mesure. Elle gémit, crie : — Encore ! Plus fort ! J’en veux un autre maintenant ! Encule-moi ! Fort, très fort ! Je sors de son con et me place face à son anus ; sa mouille servira de lubrifiant. Je l’attrape par les ...