Dame Erika (19) - Histoires de Sexe

Dame Erika (19)

... hanches, la tiens fermement, et d’un coup sec lui rentre mon sexe jusqu’à la garde dans le cul et la pilonne. Elle crie ; je ne sais pas si c’est de plaisir ou de douleur. Elle râle, glousse, puis lâche un énorme « Ouiii… Je jouiiiis… Encore ! » Je continue le plus fort que je peux. Je sens les contractions de son anus enserrer mon sexe. Je pilonne toujours, elle crie encore. J’éjacule en elle ; je suis épuisé. Elle s’écroule sur le lit, moi avec, toujours en elle, son anus me serre toujours par à-coups. Elle bouge. Je sors, éjecte la capote au loin. Elle me retourne – elle a une force incroyable – me saute dessus, embouche mon sexe pour une fellation magistrale (je commençais à débander) Hé ho, au boulot, mec ! Je suis prêt. Elle glisse sur moi. Sa langue a un goût de salive et de sperme ; je n’aime pas trop, mais pour elle je le fais. D’un mouvement de bassin elle s’enfonce sur moi ; mon sexe, dans son étui magique, glisse avec douceur. Elle s’assoit sur moi, ondule ; je m’arcboute, la soulève à genoux. Je la pilonne encore ; elle s’attrape les seins, tord ses tétons puis, les mains dans les cheveux, tête en arrière, elle gémit encore et encore. Elle respire fort, crie encore, puis appuie de tout son poids sur moi. J’arrête. Elle reste ainsi, sans un mot ; son vagin se contracte, enserre ma verge ; son ventre vibre fort, très fort. Elle s’allonge sur moi ses tétons durs caressent les miens tout aussi fermes. Le baiser qui suit est passionné, terriblement fougueux. Ses yeux ...

... pétillent de bonheur. Ses caresses sont douces, tendres ; son regard coquin me dit merci. D’une voix douce et sensuelle, elle me dit : — Et si ton histoire était vraie ? Appelle Élise et Erika ; peut-être qu’il s’est passé quelque chose, je ne sais pas. Et si c’est le cas, je veux bien aller moi aussi visiter la salle de torture. J’appelle Élise, on communique souvent. — Tu n’aurais pas fait un rêve étrange après le colloque ? — Si, me répond-elle. Nous convenons d’un rendez-vous ; c’est pour cet après-midi. Elles sont à quelques kilomètres, juste à côté ; elles viendront à notre hôtel. jgyjppt Au bord de la piscine, en maillot de bain (enfin, si petit…) et Julie en topless (Oh con ! Elle a une de ces paires de miches !) nous sommes bien installés sur des transats disposés en carré autour d’une table basse avec un cocktail sans alcool. Ma Julie, secrétaire de direction – tiens, ça me rappelle quelque chose ; Élise aussi ? – a toujours son dictaphone avec elle. Touche « Rec ». Élise et moi, face à face, racontons à tour de rôle. Nous avons vidé quatre cocktails chacun. Tina à ma gauche et Julie à ma droite sont assises en tailleur. Élise et moi constatons avec humour que notre récit fait de l’effet sur nos corps. Il fait chaud. Un plongeon dans la piscine nous procure un rafraîchissement salutaire et nécessaire. Julie me suggère : — Pourquoi ne pas envoyer un mail à Erika ? — Bonne idée ! En plus, elle travaille, la pauvre… Je prends mon smartphone. Mailto : Xstory ("mail de ...