1. Domination féminine 1


    Datte: 09/09/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme

    ... puis il rampa doucement vers sa Maîtresse. Le chien atteignit le fauteuil de la dormeuse naturiste. Elle se trouvait devant lui, étendue, le postérieur vers lui, tout son corps blanc respirait l'érotisme. Comme il aurait aimé pouvoir renifler son vagin puis lécher sa vulve ! L'endormie du mauvais sens elle ne lui offrait que son cul. Il s’en contenterait. Ses lèvres baisèrent légèrement les orteils de sa Maîtresse. Pour ne pas la réveiller, il voulait qu'elle s'habitua progressivement à sa présence, à ses caresses. Il distribua des coups de langue brefs mais répétitifs sur la plante de ses pieds, sur ses chevilles, ses cuisses,... comme il aurait aimé glisser sa langue entre les lèvres vaginales de sa Maîtresse endormie ! Alors que sa langue perverse glissait entre la raie des fesses de sa Maîtresse ce qui devait arrivé arriva : l'endormie se réveilla. « Sale chien ! Tu m'as réveillée !» Elle le gifla. Il s’agenouilla puis se recroquevilla en signe de soumission et d'expiation. Mais elle continuait de le gifler dans le dos, les fesses, les cuisses. « J'essaye de dormir et toi tu essaye de lécher cul ?! » Il répondit par des aboiements ! « Tu veux lécher mon cul ? » Ouaf ! Ouaf ! Elle tourna le dos au chien. Elle tira la laisse du chien. La langue esclave pénétra les fesses reines. Pendant un long moment il lécha l'anus de sa Maîtresse. Elle lui ordonna de déposer sa tête sur le fauteuil en cuir. Il obéit. Elle s'assit sur son visage. Elle l'étouffait de ses fesses. « Sort ta ...
    ... langue... mon anus ! » Sa langue lapa l'orifice trop intime de sa Maîtresse. Les fesses nues décollèrent du visage. « Ouvre la bouche ! » Il écarta les mâchoires. Elle lui crachat dans la bouche ! C'était une extase pour lui d'avaler le crachat de sa Maîtresse alors qu'ils se fixaient dans les yeux. « Maintenant recule ! Va t'allonger là-bas le chien ! » Il rampa et s'éloigna à contre cœur. Il coulait d'excitation dans sa cage pour chaste. Le plug l'élargissait l'anus. Les employés se trouvaient dans la cour centrale. Comme eux, debout, se tenait un athlète cinquantenaire qui paraissait trentenaire, vêtu d'un ensemble jogging gris. Au rythme de ses mouvements et d'une musique méditative les salariés groupés et en rangs l'imitaient. L'homme aux cheveux très courts se mit à faire tourner en rond son poignet. Tout le troupeau l'imita. Il sautilla surplace plusieurs fois en levant les bras. Le groupe l'imita et les pieds firent sur le sol un vacarme d'escouade militaire. Dix minutes plus tard l'homme sortit une télécommande de sa poche. Il pressa un bouton. La baffle au sol se mit à diffuser le rire d'un enfant. L'homme rit. Tout le troupeau humain rit. Toshimi Okura imitait tous les autres. Il lui semblait que malgré son rire artificiel de la joie vraie sortait quand même dans son rire qui restait inaudible aux milieux de celui des autres, rire qu'il n'entendait pas lui-même mais qu'il sentait provenir de ses entrailles. L'homme : -je suis un bon travailleur ! Tout le groupe : ...