Initiation au plaisir (1) - Histoires de Sexe

Initiation au plaisir (1)

... anges. Encouragée par cette victoire, elle glissa sur mon ventre tendu par un nouveau désir et le couvrit d’une myriade de baisers à la tendresse savoureuse, sa langue s’égara dans mon nombril. Toute envie de résistance envolée, j’attendis la suite sans impatience. Car suite il devait y avoir, la gestuelle dont je prenais enfin mesure de la spontanéité en était la promesse. Pas de hâte cette fois, Cindy s’attarda à la découverte de mon pubis qu’elle avait si bien négligé auparavant. Sa bouche perdue dans ma toison, le regard rivé au mien, elle toucha ma fente d’un doigt. L’excitation psychique déclencha aussitôt mes sécrétions. La belle s’en aperçut sans doute, elle me toisa d’un sourire d’une désarmante tendresse avant de glisser entre mes cuisses. Je sentis des doigts écarter mes grandes lèvres puis… plus rien. Cindy devait observer ce que j’avais de meilleur à lui offrir, consciente de faire monter mon excitation à son comble par une prudence exagérée, détestable mais ô combien érotique. Elle s’enhardit enfin à de chastes baisers de chaque côté au niveau des aines. Le souffle brûlant sur ma peau devenait supplice. Enfin la langue entama un mouvement de bas en haut et de haut en bas le long de ma fente, pénétrant davantage dans mes limbes à chaque passage. Je suffoquai de bonheur. Cindy ouvrit délicatement les pétales de mon minou pour mieux s’en repaître, pressée de déglutir mon suc. – Voyons si ta mouille est meilleure que le vin. Son ardeur à fouiller ma vulve révélait ...

... un réel plaisir partagé. J’étais aux anges de la savoir me lécher avec gourmandise, d’entendre aux bruits de gorge qu’elle avalait ma cyprine, de saisir par ses gloussements qu’elle en aimait l’amertume. De son application dépendait mon bonheur, tout se mélangeait dans ma tête. J’ignorais ce qui me faisait le plus de bien. L’intrusion d’un doigt, puis d’un second, amena une sensation nouvelle. Cindy me pénétra sans violence, laissant les mouvements de mon bassin imprimer le rythme. Ce faisant, elle découvrit la zone clitoridienne de son autre main. Sa langue virevolta autour de mon bouton sans y toucher. Le plaisir fut long à venir cette fois, mon amante ne s’en formalisa pas, au contraire. Le voyage s’éternisa au gré de ses fantaisies. J’atteignis le point de non-retour quand la pointe de sa langue effleura la tige de mon clito, la fit rouler. La caresse se voulait trop précise pour être innocente. Je crochetai mes ongles dans l’épaisse tignasse blonde par crainte d’être abandonnée au moment fatidique. Aucun risque, Cindy investit de nouveau ma conque de sa langue, laissant mon clito à la merci de ses doigts. Elle m’amena ainsi à une nouvelle jouissance moins violente, plus longue et plus profonde. Je la regardais dormir, si belle dans son sommeil, en paix. Moi qui la veille encore, une semaine après mon vingt-cinquième anniversaire, me pensait perdue pour l’amour, je venais de succomber en une soirée au charme insolent d’une nana de 19 ans. Le coup de foudre n’était donc pas ...