La voisine aux longs tétins
Datte: 09/09/2017,
Catégories:
h,
fh,
fagée,
voisins,
grosseins,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
sm,
piquepince,
inithf,
attirautr,
La première fois… je devais avoir 19 ou 20 ans. Je venais d’avoir mon bac et traînais chez mes parents en attendant que les cours reprennent. Quelques jours auparavant, j’étais allé chercher une vieille R5 chez mon oncle, dans le nord de la France. Il avait décidé de me filer cette vieille guimbarde. Pas vraiment une bonne affaire (je n’ai eu que des emmerdes avec cette voiture par la suite), mais sympa quand même ; merci, tonton. Au retour, je m’étais arrêté sur une aire d’autoroute et j’avais fait provision de livres de cul. J’étais très consommateur de ce genre d’ouvrage à l’époque, des historiettes sous cellophane aux titres évocateurs. Il y avait en plus toujours de super-promos dans ces stations-service où personne ne me connaissait. Pour être tranquille et peinard, mes revues cochonnes, j’allais les lire dans la grange délabrée qui était derrière la maison, celle qui n’appartenait à personne. Au-delà des jardins s’étendait une espèce de no man’s land broussailleux, un terrain rempli de ronces et d’orties au milieu duquel trônait une vieille masure à moitié effondrée. Quand j’étais gamin, mes parents refusaient que j’aille traîner là-bas, à cause des serpents et de l’état de vétusté de la baraque qui semblait proche de s’effondrer. Cela ne m’empêchait évidemment pas d’y passer le plus clair de mon temps ; j’y avais mes habitudes, j’en connaissais tous les recoins et m’y sentais dans mon domaine. J’étais d’ailleurs un des rares mômes du quartier à m’y aventurer aussi ...
... régulièrement. ________________________ Plus tard, ce lieu isolé avait aussi connu mes toutes premières branlettes ; je m’y sentais beaucoup plus à l’aise que dans ma chambre étriquée qui jouxtait celle de mes parents et celle de ma frangine. C’est là, à l’écart du monde, que j’avais pris l’habitude de me masturber. En montant dans le petit grenier, en regardant par la lucarne, je pouvais même observer certains habitants du quartier et, parfois, en regardant les femmes, il me prenait l’envie de me tailler une petite queue. Certes, ces dames n’étaient pas aussi sexy ni aussi salopes que celles de mes bouquins pornos, mais il me plaisait à penser qu’elles cachaient bien leur jeu. Dans l’intimité, certaines d’entre elles devaient même être sacrément vicieuses, en particulier les petites jeunes du quartier qui jouaient souvent des rôles de pimbêches ou de vierges effarouchées. C’est en tout cas ce que je pensais, tant il est vrai que je ne faisais plus trop la différence entre mes livres de cul et la réalité. Pour autant, ma vie sexuelle n’était pas très glorieuse. Certes, je n’étais plus puceau depuis belle lurette, j’avais même eu plusieurs copines. Mais, lors de ces maigres expériences, j’avais été loin de retrouver toute la richesse de mes fantasmes. Celles avec qui j’avais couché étaient toujours des filles qui osaient pas ou pas trop, qui refusaient d’emblée certaines pratiques, et surtout qui ne juraient que par l’amour. « Dis-moi que tu m’aimes ! » Comme si l’amour et le ...