1. La voisine aux longs tétins


    Datte: 09/09/2017, Catégories: h, fh, fagée, voisins, grosseins, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, sm, piquepince, inithf, attirautr,

    ... sexe pouvaient être compatibles ! Moi je n’aspirais qu’à coucher. C’est pour cela que je me masturbais ; le plaisir que je prenais à m’astiquer la bite allait bien au-delà de celui, très sporadique, que je trouvais dans ces rares parties de jambes en l’air que m’accordaient les nanas du coin. Qui plus est, j’avais un incessant besoin de sublimer les expériences du monde réel. Par exemple, lorsque j’étais avec Charlotte, c’est souvent à sa mère que je pensais et, lorsque j’étais avec Cécile, je l’imaginais en train de se faire violer dans la salle des profs, dans le vestiaire du gymnase ou dans un endroit encore plus glauque ; c’est entourée d’un groupe d’hommes particulièrement vicieux qu’elle me plaisait. Quant à Karine, j’étais persuadé que cette perverse se tapait le berger allemand de ses parents dans l’intimité de sa chambrette. Elle faisait très poupée Barbie, et l’idée qu’un gros clébard puisse la souiller de sa queue poisseuse excitait ma libido. En fait, je ne prenais jamais les filles pour ce qu’elles étaient : il fallait toujours que je m’invente plein de scénarios délirants pour être stimulé. Toujours est-il que ce jour-là, un après-midi d’été plutôt frais et assez couvert, j’étais allé me réfugier dans la grange pour y mater mes livres de cul ; un, en particulier, que je trouvais fort bien fait avec un titre évocateur, du style « La bonniche offre ses gros nichons », l’histoire de trois amis qui prennent l’apéro dans une somptueuse maison tandis que la femme de ...
    ... ménage espagnole passe et repasse tout près d’eux avec son petit plumeau. L’Ibère n’a vraiment pas froid aux yeux et ne porte pas grand-chose sous son petit tablier hypercourt. Montée sur un tabouret, elle époussette consciencieusement les étagères, montrant son cul d’enfer aux hommes, ce qui donne envie aux trois amis de sortir leurs grosses pines, que cette coquine gobe tour à tour avec une grande voracité. Il n’y a pas besoin de lui demander deux fois, elle n’attendait visiblement que ça ! Devant, derrière, à deux, à trois, elle se les prend tous en alternant les plaisirs, et ils se font une joie d’éteindre l’incendie qui brûle entre les cuisses de l’Hispanique avec leurs grosses lances velues. Bientôt couverte de sperme, elle se dit qu’elle a mésestimé la virilité des trois mâles, alors elle décide d’appeler à la rescousse sa frangine pour lui faire profiter de cette bonne affaire. La jumelle, encore plus cochonne que sa sœurette, rejoint alors le quatuor pour un assaut final. Et moi de me branler jusqu’à la dernière page et de m’en foutre plein les doigts… Quel panard ! J’ai dû grogner comme une bête féroce et me suis vidé de toute ma semence. Ensuite, tenant toujours dans ma main ma queue poisseuse, j’ai feuilleté à nouveau le bouquin pour en revoir les photos les plus marquantes.« Putain de salope ! Vivement que je bosse, que je puisse, moi aussi, me payer une femme de ménage vicieuse… » Tandis que j’étais en train de rêvasser à ces futurs ébats, un bruit derrière moi ...
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