1. La voisine aux longs tétins


    Datte: 09/09/2017, Catégories: h, fh, fagée, voisins, grosseins, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, sm, piquepince, inithf, attirautr,

    ... retint soudain mon attention. J’avais beaucoup trop l’habitude de ce lieu, de ses bruissements, de ses craquements pour ne pas trouver ce son habituel ; je me doutais bien que je n’y étais plus seul. Je me suis retourné, paniqué à l’idée de me retrouver face à ma mère ou à ma sœur, prêt néanmoins à toute éventualité… Mais ce n’était en fait qu’une de nos voisines, madame Tellier, qui me dévisageait avec un air strict et sévère. Pris en flagrant délit, la queue à la main, je devais avoir l’air particulièrement débile. En plus, je ne pouvais même pas me rhabiller vite fait, car j’avais laissé traîner mon pantalon et mon slip un peu plus loin, à cheval sur une vieille planche. Madame Tellier – je la connaissais depuis toujours – était notre plus proche voisine. Préretraitée depuis quelque temps et divorcée d’un premier mariage, elle vivait maintenant avec le maçon du coin. Je n’avais jamais fantasmé sur elle, peut-être parce que je la connaissais vraiment trop bien et qu’elle faisait un peu bobonne. Dans le quartier, c’était aussi une vraie commère ; elle discutait souvent avec mes parents… qu’allait-elle d’ailleurs leur raconter à mon sujet après m’avoir découvert ainsi ? Quelle situation embarrassante ! Gêné, j’esquissai un sourire peu convaincant qui ne sembla pas perturber ma visiteuse. Mais j’eus alors la grande surprise de voir celle-ci avancer droit vers moi, sans arrêter de me regarder. Qu’allait-elle faire ? L’espace d’un instant, j’eus peur de me recevoir une baffe. ...
    ... Au lieu de ça, je la vis dégrafer les boutons de sa chemise, une grosse liquette de trappeur en coton épais. Elle avait une sacrée paire de miches, la mère Tellier, mais c’était la première fois que je les voyais avec mes yeux de visu. D’habitude cette grosse poitrine était camouflée sous une tonne de linge et semblait plus ou moins informe. Certes, elle était vraiment très lourde, mais ainsi dévoilée elle ne semblait plus aussi tombante que je ne l’aurais cru de prime abord et, quand la voisine finit par extraire une à une chaque mamelle de leur prison, j’eus la surprise de ma vie en voyant la grosseur et la longueur de leurs tétines. Je n’avais jamais vu ça, dans aucun bouquin de cul, pas même sur Internet : ces tétins semblaient vraiment obèses ! Je savais qu’elle avait élevé des enfants, qu’elle avait été nourrice lorsqu’elle était plus jeune. Était-ce le fait d’avoir allaité qui avait développé de cette façon ses appendices ? Est-ce que toutes les nourrices étaient comme ça, deux ou trois centimètres de long et un bon centimètre de diamètre ? — Alors, petit cochon, ils te plaisent les nénés de Ginette ? Avoue que tu aimerais bien les téter ! Alors, ne te gêne pas : elle aime ça, Ginette, se faire téter. Était-ce la mère Tellier qui me parlait ainsi ? Je reconnaissais à peine sa voix et encore moins sa façon de faire. Sans hésiter, elle m’agrippa violemment par la tignasse et m’attira fermement vers son téton droit. — Vas-y, petit vicieux, tète-moi fort, j’aime ça… Plus ...
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