La voisine aux longs tétins
Datte: 09/09/2017,
Catégories:
h,
fh,
fagée,
voisins,
grosseins,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
sm,
piquepince,
inithf,
attirautr,
... fort encore, n’aie pas peur, aspire-moi bien ! Si tu me fais mal, je te le dirai. Tétine après tétine, je me mis à lui téter le bout des seins, d’abord du bout des lèvres puis avec de plus en plus de force au fur et à mesure qu’elle m’y encourageait. Elle me demanda de lui mordiller les bouts puis de les lui étirer avant de les téter à nouveau. Cela dura, en tout, une bonne demi-heure et ses tétins devinrent tout durs. Chaque coup de langue lui arrachait désormais de profonds soupirs. Je n’avais jamais vu ça et ignorais que ce puisse être possible ; j’avais la nette impression qu’elle était en train de jouir par le bout des seins. À la fin, n’en pouvant plus, elle les retira de ma bouche, en prit un dans chaque main et se mit à se les pincer très fort. Un long grognement s’échappa alors de son être tandis que, le dos fermement calé contre le mur de pierres, elle se laissait glisser lentement vers le sol jusqu’à se retrouver le cul par terre, les yeux révulsés, complètement hagarde. Inutile de préciser qu’elle venait, apparemment, de prendre un sacré pied ! Elle reprit ses esprits et, avec grande précaution, rentra une à une ses mamelles dans son soutien-gorge. Elle devait avoir mal, car chaque frottement des tétines contre le tissu la faisait grimacer. Mais une fois ses appâts à nouveau à l’abri de leur cocon, elle revint lentement vers moi, en rampant à quatre pattes sur le sol humide et, sans hésiter une seconde, elle avala mon sexe revigoré par ce qu’il venait de voir. ...
... Complètement déchaînée, elle me pompa avec une énergie peu commune. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle ne suçait pas du bout des lèvres, la mère Tellier ! D’ailleurs ma bite ne tint pas très longtemps face à ce traitement de choc. J’éjaculai bientôt dans sa bouche et elle avala le tout sans sourciller. Sur ce, elle ne s’éternisa pas sur le lieu du forfait. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle se releva et s’en fut sans un mot de plus en reboutonnant prestement sa chemise. À partir de ce moment-là, j’eus évidemment une tout autre opinion vis-à-vis de cette bien curieuse voisine. Malheureusement, je ne la voyais jamais seule, car son mari était en arrêt maladie, immobilisé chez lui pendant plusieurs semaines. Plusieurs fois néanmoins, elle vint à la maison discuter avec ma mère, mais son attitude envers moi n’avait pas changé d’un iota. Elle faisait mine de rien, comme si rien ne s’était passé entre nous. Pas un regard, pas un sourire, pas une allusion, alors que de mon côté je n’arrêtais pas de penser à ses mamelons obèses et à la façon dont elle aimait se les faire téter. Plusieurs fois aussi j’étais allé l’attendre dans la grange, espérant sa venue, me masturbant des heures durant avec l’envie qu’elle me surprenne à nouveau. Mais, à mon grand désespoir, elle n’était jamais revenue. Il me fallut attendre plus d’un mois pour que l’occasion se représente. ________________________ Un matin, en sortant de chez mes parents, la porte de la voisine s’ouvrit : — ...