1. La voisine aux longs tétins


    Datte: 09/09/2017, Catégories: h, fh, fagée, voisins, grosseins, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, sm, piquepince, inithf, attirautr,

    ... Tu veux venir téter Ginette ? me dit-elle sans préambule. Elle était en chemise de nuit dans son entrée, et il ne me fallut que quelques secondes pour me décider à l’y rejoindre. Un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite pour m’assurer que personne ne me voyait entrer chez la mère Tellier. Elle referma la porte derrière moi, mit le verrou, tourna un tour de clef. — Mon mari a repris le travail, m’annonça-t-elle sans état d’âme en m’entraînant sans attendre dans sa chambre. Elle décida d’extraire à nouveau ses lourdes mamelles perdues sous sa nuisette et m’invita à les lui téter. — Tète-les comme l’autre fois ; n’hésite pas à aspirer très fort, conseilla-t-elle. Allez viens, mon gros bébé, mâchouille-les, grignote-les. Et, comme la fois précédente, elle m’agrippa par la tignasse et me tira les cheveux sans ménagement. Lorsque ses bouts furent bien durs, elle me demanda de les lécher plus lentement et plus en profondeur, d’accroître encore l’aspiration. Visiblement, elle prenait un réel plaisir à se faire téter les seins : elle gémissait, elle haletait, elle n’en pouvait plus, mais en redemandait encore. Elle tint encore de longues minutes puis, hors d’elle-même, elle se jeta soudain sur la table de nuit, saisit dedans deux pinces à linge et se les accrocha sur les tétons. Un cri qui tue remplit alors toute la pièce, curieux mélange de douleur et d’orgasme. Elle grimaçait sans retenue, torturée dans tout son corps, mais elle me demanda encore de m’approcher, de lui lécher ...
    ... le bout des tétons, mais cette fois seulement la pointe. À chaque petit coup de langue, son corps se cabrait et semblait comme pris de spasmes ; c’était vraiment très impressionnant, encore plus que la première fois, beaucoup plus douloureux aussi, mais la douleur semblait pour elle une source de jouissance. Après cette longue séance, elle resta prostrée durant de longues minutes et je m’aperçus qu’elle saignait parce qu’elle s’était mordu les lèvres jusqu’au sang. Elle retira finalement les pinces avec d’infinies précautions, mais ne put remettre sa chemise de nuit de suite, le moindre frottement lui faisait beaucoup trop mal, ses seins étaient trop endoloris. Elle refusa que je la touche et encore plus que je l’embrasse. Elle s’allongea simplement sur le lit, et relevant tant bien que mal sa nuisette, elle me présenta sa chatte poilue et écarta largement les cuisses. Le message était fort clair : elle voulait maintenant que je la baise. Chagriné parce que je n’avais pas de préservatif, elle perçut de suite mon désarroi : — Regarde dans mon sac, il y a ce qu’il faut. Tout en enfilant la protection, je me surpris à me demander ce qui poussait cette femme mariée à se trimballer ainsi avec une boîte de capotes dans son sac à main. Peut-être n’était-elle pas si sage que cela, après tout ! Peut-être se faisait-elle téter par tout le voisinage ! Mon père y avait-il goûté ? Et mes copains ? Plus vraisemblablement, les piliers de bar du troquet ! De la savoir aussi salope ne fit que ...
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