La Muse (18)
Datte: 24/10/2019,
Catégories:
Hétéro
... fit remonter le bas de ma robe et insinua ses doigt dans mon entrejambe ; moi, je lui serrais le paquet qui grandissait toujours. Je collai mon visage tout près du sien pour qu’il sente mon parfum, respire mon souffle et voie ma poitrine dans l’échancrure de ma robe. Je passai ma langue sur mes lèvres, m’assurai que personne ne puisse voir ce qu’il se passait et je frottai, à travers son pantalon, le sexe de cet homme complètement à ma merci Arrivée à la cathédrale, je descendis du bus en filai en direction des jardins ; mon suiveur suivit, il était juste derrière moi. Je pris le chemin qui longe le bas du monument, très peu fréquenté. Au détour du chemin, je me suis planquée derrière un mur ; j’attrapai mon homme par le bras et le plaquai contre le mur. Je lui roulai une galoche infernale tout en défaisant sa ceinture et sa braguette. Je l’ai ensuite retourné, sauté au cou en enserrant sa taille avec mes jambes et m’empalai sur son membre tendu sans autre forme de procès. Il me colla contre le mur, plaça ses mains sous mes fesses et me pistonna comme un forcené ; un mâle en rut ! Mon orgasme fut rapide, puissant, intense ; je l’ai repoussé : je ne voulais pas qu’il éjacule en moi. Le pauvre garçon n’avait rien eu, pas d’orgasme. J’eus pitié de lui. Je repris une position correcte et me mis à le branler avec une force inouïe ; il arrosa copieusement la végétation de son sperme. Un baiser sur la bouche et je me suis enfuie, le laissant planté là, la bite à l’air, ...
... dégoulinante de sperme. Cet acte hygiénique me mit dans une forme olympique. Je suis rentrée au galop et j’ai descendu les escaliers au pas de course. Je suis arrivée, essoufflée, au bistrot. Dès que Caro me vit, elle me sauta au cou et m’embrassa sur la bouche comme si j’étais le marin parti depuis une éternité retrouvant sa femme. — Eh bien, qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu es bizarre… C’est le printemps qui te met dans cet état ? — Non, Jen, il faut que je te parle. Viens au studio dans une heure, j’ai une pause. Tu seras là, dis ? — Mais qu’y a-t-il ? Tu es amoureuse ou quoi ? — En quelque sorte. Je te dis ça tout à l’heure. J’ai pris un café au bar tout en discutant avec Francis ; il me confia que Caro était depuis peu complètement transformée. Elle était agitée, gaie comme un pinson, aimable, souriante avec les clients qui venaient lui demander si elle était amoureuse. Par contre, il ne voyait jamais de garçons ou de filles à part moi en sa compagnie. Je suis montée au studio pour l’attendre et voir si je ne trouvais pas un indice qui pourrait expliquer son comportement. Au bout d’un quart d’heure elle arriva, toujours aussi gaie. — Tu m’expliques ? — Jen, je suis amoureuse ! — À la bonne heure ! Et c’est qui, l’heureux élu ? — Toi, Jen : c’est toi que j’aime. — Mais, Caro, je ne t’aime pas ; je t’aime bien, c’est tout. Mais pourquoi ? Pourquoi moi ? — Jen, c’est depuis qu’on a fait l’amour ensemble ; j’ai eu le coup de foudre. Ce n’est pas de ma faute, tu sais, je ne le fais pas ...