4 histoires courtes
Datte: 10/09/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
jeunes,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
grossexe,
sales,
vacances,
campagne,
fête,
amour,
fsoumise,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
exercice,
occasion,
Ça faisait des semaines que je lui faisais la cour, avec douceur, que je lui payais le café tous les jours à la cafète de cette grosse boîte de la Défense. Il faut dire que Sandrine en valait la chandelle. C’est une beauté parisienne, grande, mince, jeune avec une poitrine qui pointe en avant, des yeux verts et un visage parfait couronné par des cheveux châtains longs, lisses et souples. Une vraie publicité pour une marque de produits de beauté pour les femmes qui le valent bien. Mais là, cette beauté, cette gravure de magazine, qu’un rien habille, elle avalait bien. Comment en étais-je arrivé là, ce soir-là, dans cette tour quasi déserte, caché derrière un bureau, à regarder Sandrine, MA Sandrine, se faire baiser comme une vulgaire pute par le chef du réseau informatique, ce gros porc libidineux, toujours en train de draguer grassement et vulgairement toutes les gonzesses, sortant des vannes à deux cents, aussi lourdes que lui ? Oui, j’étais très énervé, vexé, dépité, désappointé, et pourtant je me masturbais en la regardant sucer ce connard qui se finissait dans sa bouche de princesse. Elle avait 25 ans, des diplômes à en pleuvoir, et elle venait de se faire prendre par ce type de plus de deux fois son âge, con comme un manche, avec un gros bide, une grande gueule, mais une grosse bite aussi. Ça faisait presque une heure que j’étais là, sous le bureau du quarante-septième étage, à mater la femme de mes rêves et l’autre type. J’étais resté seul ce soir-là pour finir un ...
... boulot urgent, et quand je l’ai vue arriver avec le chef réseau, j’ai éteint ma lumière et je me suis glissé sous mon bureau, pour faire le con, comme ça, pour blaguer. Mais quand je l’ai vue poser ses fesses sur le bureau et écarter les cuisses en remontant sa jupe, pendant que le gros avait baissé son futal, et sorti sa grosse queue, je n’ai pas eu le temps de bouger, ni de réagir qu’il était déjà entre ses jambes, la bite au fond de son vagin à la besogner. Non, pas elle, PAS ELLE ! Elle gémissait déjà, « Hooo, putain, j’avais trop envie que tu me prennes sur mon bureau », sa bouche magnifique aux lèvres ourlées comme Claudia Shiffer recherchait de l’air tellement le plaisir semblait évident. La garce prenait un pied d’enfer et le chef continuait de la baiser. Il la lima longtemps, elle jouissait sans arrêt. Puis il la retourna, elle avait posé ses coudes sur le bureau, et le cul bien en l’air. L’homme reprit sa place au fond de sa chatte d’un coup jusqu’à la garde. Je voyais tout, caché dans l’ombre, et je bandais, malgré l’immense tristesse qui m’envahissait. Elle jouissait comme une folle et eut un orgasme quelques minutes plus tard, qui la secoua violemment. Gérard, le gros con, jouissant aussi au fond de sa chatte, sortit de son sexe, et sans plus de détails, lui força le cul, la bite pleine de sperme, mais encore bandante, et il reprit ses coups de reins, mais cette fois dans son anus, entre ses fesses rondes et fermes. Je voyais son cul dilaté par la grosse queue, ...