4 histoires courtes
Datte: 10/09/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
jeunes,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
grossexe,
sales,
vacances,
campagne,
fête,
amour,
fsoumise,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
exercice,
occasion,
... pendant que du sperme coulait de sa chatte sur la moquette. Il la bourrait comme une grosse salope qu’elle était, et elle aimait ça, elle glissa sa main sur son clito et jouit de nouveau, accompagnant les grognements du porc qui tapissait son anus de foutre. Et enfin, il la fit s’accroupir, elle ouvrit grand la bouche, sortant la langue et il finit d’éjaculer contre son palet. Je voyais le sperme gicler de sa queue et se perdre dans la gorge de Sandrine, pendant qu’entre ses cuisses, les premières giclées continuaient de s’écouler de son sexe et de son anus, sur la moquette. Le salaud l’avait remplie par tous les trous. Puis ils repartirent comme ils étaient venus. Moi, assommé, la main pleine de sperme, je me levai pour aller aux toilettes me nettoyer. Demain, je ne l’inviterai pas pour le café, j’inviterai plutôt Virginie, elle est moins jolie, mais super gentille, et elle, je la connais bien, enfin je crois. Il faisait chaud cet été-là. Ma robe légère, bleue à fleurs, ne me couvrait qu’à peine le corps. Je profitais de cet après-midi là pour me promener en vélo dans les chemins de campagne, pleine des souvenirs de mon enfance. Mon mari et mes deux enfants faisaient la sieste avant de partir en visite touristique dans des grottes. Je ne souhaitais pas les accompagner, préférant rester au calme après mon année d’enseignement dans un cours préparatoire, et laissant le plaisir à mon mari de faire découvrir aux enfants les richesses de cette belle région du Lot. Ainsi je ...
... revisitais les paysages de mes racines que je n’avais pas revus depuis la mort de ma mère, une dizaine d’années auparavant. J’allais fêter mes quarante ans et je me sentais épanouie et heureuse dans mon couple et dans mon activité professionnelle. Mes deux garçons me comblaient de bonheur, du haut de leurs neuf et douze ans, ils grandissaient dans la joie de vivre. Toutes ces pensées me ravissaient. Tout en cheminant vivement, je percevais les senteurs des prés fraîchement coupés, et ma jupe volait légèrement à chaque coup de pédales. Sans fatigue, je me retrouvais déjà loin de la maison vers des terres que je ne connaissais pas très bien. Je m’aventurais dans des chemins de plus en plus étroits et rocailleux. Traversant un bois, je retombai de nouveau dans des petits champs fleuris de coquelicots, entourés par la forêt épaisse. Je descendis de mon vélo pour me reposer un peu et profiter de la marche pour regarder plus attentivement la nature et écouter les oiseaux guillerets chanter le printemps. Lorsque je vis, couché sous un arbre près du chemin, dormant le chapeau sur les yeux, un vieux paysan mal rasé, bedonnant, crasseux, à moitié nu et poilu, assez répugnant d’aspect, la chemise et le short posés plus loin, et un slip sale pour seul habit. Je passai près de lui aussi discrètement que possible lorsque mon regard tomba sur une forme étrangement grosse, couleur chair, qui se distinguait sous son slip devenu presque transparent par les trous et l’usure. Je m’arrêtai un instant, ...