4 histoires courtes
Datte: 10/09/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
jeunes,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
grossexe,
sales,
vacances,
campagne,
fête,
amour,
fsoumise,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
exercice,
occasion,
... déplaça lentement pour s’adosser à l’arbre et me fit signe de venir. À présent, j’étais assise sur son gros ventre afin qu’il puisse me sucer les seins. Puis je me relevai et il regarda mon sexe épilé soigneusement et le caressa d’une main. Il me doigta facilement tellement je mouillais, et je commençais déjà à gémir sous la force de ses caresses. Il écarta les lèvres de mon vagin afin de le détendre et de ses deux mains me poussa les fesses afin que je colle mon sexe contre sa bouche. Il me suça le clitoris et me lécha quelques minutes, me procurant beaucoup de plaisir. Puis il me recula et me guida vers son sexe qui, à présent, était tendu comme un gourdin. Je m’accroupis doucement, présentant son gland devant l’entrée de mon vagin et d’une main écartant au maximum mes lèvres, je fis glisser son gland entre mes parois intimes. Je mouillais terriblement, et heureusement : car je me sentais écartelée, la sensation était immense. Je savais que c’étaitça que j’avais toujours voulu. Je me laissais descendre le long de son manche démesuré et je jouissais déjà. J’avais la bouche grande ouverte, la tête hochant de droite à gauche et de haut vers le bas, je tirais la langue comme une chienne et de la salive me coulait le long de la bouche sans que j’aie la force de l’avaler. Je tremblais, je gémissais, mais je continuais de descendre, me déchirant, m’empalant complètement. Je stoppai et je regardai ce sexe en moi, il n’était entré qu’aux trois quarts, et pourtant je savais que ...
... plus de vingt centimètres étaient déjà profondément dans ma chatte rougie et brûlante. Il me regardait et pour la première fois me sourit et dit : — Tu es profonde. Je remontai doucement le long de sa hampe afin de bien humidifier toute ma paroi et je continuai ma descente, et c’est vrai que j’étais profonde. Mon mari, malgré son sexe de presque vingt centimètres, n’avait jamais atteint mon col, et la seule fois où j’avais eu la sensation de le toucher fut la fois où j’avais utilisé un long cierge assez épais que j’avais pris dans une église afin de me donner du plaisir. J’avais eu tellement honte, après et je n’avais pas réitéré l’expérience. Maintenant il n’était plus question de cierge ou autre artifice mais bien d’un pénis, d’un vrai, d’un gros et grand, qui me pénétrait le ventre et je me donnais du plaisir avec. Le fermier ne bougeait pas, il se contentait de me caresser les seins, les épaules ou les fesses, m’aidant un peu en me soulevant parfois de ses mains, et moi je m’embrochais vigoureusement. Et enfin je sentis le gland contre le col de mon utérus, je me penchai en avant pour regarder entre mes cuisses et je vis le sexe du fermier qui avait presque disparu en moi. Il prit mon menton dans sa main, comme s’il s’adressait à une petite fille, et me dit que c’était la première fois qu’une femme pouvait le prendre en entier dans son vagin. Je me sentais fière et, me redressant complètement sur son membre, je fis entrer les derniers centimètres. À ce moment, je ne bougeai ...