1. 4 histoires courtes


    Datte: 10/09/2017, Catégories: fh, hplusag, hagé, jeunes, extracon, inconnu, Collègues / Travail grossexe, sales, vacances, campagne, fête, amour, fsoumise, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, exercice, occasion,

    ... cherchant à distinguer un peu plus clairement cette vision. J’écarquillai les yeux largement afin de bien comprendre ce que je voyais. En effet cet homme gras, sale et vilain, semblait dissimuler dans sa culotte un sexe monstrueux, la bosse formée par celui-ci était démesurée. Tout occupée à regarder cette terrible chose, je n’avais pas vu l’homme se réveiller, et lorsque sa main bougea pour descendre vers son slip, je levai les yeux et le vis qui me regardait, ayant soulevé son chapeau de l’autre main. Je voulus me sauver, mais mes jambes ne me portaient pas et mon regard redescendit bien malgré moi vers son bas-ventre. Hypnotisée, je vis qu’il avait baissé son slip sous ses couilles velues et énormes comme deux kiwis, et il commençait à caresser un membre épais et gras, de sa main aux doigts courts et boudinés qui n’en faisait pas même le tour. Jamais de ma vie je n’aurais imaginé pareil spectacle, même dans mes pires fantasmes. Je sentis monter dans mon ventre une étrange sensation, un désir insensé. Mon sexe s’ouvrait bien malgré moi, et coulait déjà, trempant mon string. Lorsqu’il me fit signe de venir de la main, je lâchai mon vélo sans le regarder tomber dans la rocaille, et je m’approchai de lui. Il devait avoir près de soixante-dix ans, c’était un vieil homme et pourtant son corps était fort et robuste. Il me prit la main, me fit asseoir près de lui et, tout en la maintenant dans la sienne, la dirigea directement vers son sexe. Sans réfléchir, sans tabou et sans ...
    ... conscience, je le pris et me mis à le caresser. À ce moment je ne pensais plus, j’étais envoûtée. Je l’avais en main, le caressant, le soupesant comme un beau morceau de viande sur un étal, ce sexe était vraiment énorme, il était large comme un poignet. Je le décalottai délicatement et son gland gras grossit encore et, doucement, devint comme un chapeau de champignon. L’homme ne m’avait pas adressé un mot, pas un sourire, pas une caresse. Il passa sa main sur ma nuque et fit une pression sur ma tête. Ne résistant pas, je me penchai pour prendre son énorme boudin en bouche. Il sentait fort la sueur, le rance, mais j’écartai les lèvres au maximum, ne parvenant à y mettre que le gland et une partie de son sexe, à peine un tiers de sa taille. Mais je m’appliquai, je le léchai sur toute la longueur, je le nettoyai complètement, couilles comprises. Il appréciait en me caressant les cheveux. Jamais je n’avais mis autant de cœur dans une pipe pour mon mari. Sa forte stature lui donnait une dimension de prince, et je me sentais comme une esclave dans un harem, qui avait eu la chance d’être choisie par son maître. Puis il me parla enfin, juste pour me dire de retirer ma robe. Je me relevai, fis descendre mes bretelles de mes épaules et les fleurs bleues de ma robe tombèrent à mes pieds. D’instinct, je retirai mon string, et je me retrouvai nue devant cet inconnu, qui sentait la sueur et la ferme, et qui avait au moins trente ans de plus que moi. Il retira son slip avec difficulté, se ...
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