1. 4 histoires courtes


    Datte: 10/09/2017, Catégories: fh, hplusag, hagé, jeunes, extracon, inconnu, Collègues / Travail grossexe, sales, vacances, campagne, fête, amour, fsoumise, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, exercice, occasion,

    ... laissa aller, et quand il se coucha sur elle, elle sentit son poids et elle croisa ses jambes dans le dos de son galant. Celui-ci présenta son gland au bord de ses lèvres et lorsqu’il poussa pour le faire glisser au fond de son vagin, elle s’ouvrit sans effort comme s’il avait été le possesseur de son désir. Il sentait son pénis glisser facilement dans ce nid chaud et déjà très humide, son désir était exacerbé par l’abandon total de cette femme dans ses bras. Elle ne voulait que du plaisir et rien d’autre, et cela le satisfaisait. Elle ne voulait ni être aimée ou admirée, elle voulait jouir de tout son être. Serge la baisait lentement, son sexe glissait dans ce fourreau qui semblait être fait pour lui. Marie se laissait aller et son plaisir ne tarderait pas. Elle avait eu trop de frustration pour attendre plus longtemps. Elle parla pour la première fois - « Plus vite ! » - et Serge accéléra l’allure, il la lima de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle s’accrochait à ses épaules de ses bras et à ses fesses de ses jambes comme si elle avait peur de s’envoler. Puis d’un coup elle s’envola effectivement, mais vers un septième ciel qu’elle désirait tant. Sa jouissance fut si forte qu’elle cria dans un murmure, ce qui ne lui était pas arrivé depuis des années. Serge se lâcha au même moment et son sexe expulsa toute sa semence. Quelques instants plus tard ils étaient allongés côte à côte, nus et heureux, ils ne voulaient plus se quitter, l’un comme l’autre voulait que ça ...
    ... dure pour la vie. Serge le premier se releva sur un coude et regarda cette femme qui respirait l’amour. Il caressa son corps d’une main, parcourant ses courbes, comme s’il voulait les apprendre par cœur. Elle regardait son visage et, levant la main, lui caressa la joue. — Tu es beau. Serge la regarda. — Je m’appelle Serge, tu es superbe.— Moi, c’est Marie.— Bonjour, Marie. Elle sourit et se releva pour l’embrasser. Elle le désirait encore et il lui semblait même qu’elle le désirerait toujours. En l’embrassant elle le bascula sur le dos et roula sur lui. Elle était assise sur son ventre, frottant déjà son sexe maculé contre le sien. Lui, sentait son propre foutre couler du vagin de Marie sur son bas-ventre. Leurs corps étaient de nouveau pris d’une frénésie amoureuse et Serge rebandait déjà. Elle se masturbait contre le membre qui grossissait et quand il fut bien dur, elle glissa la main sous son ventre, saisit l’objet et, se relevant à genoux, elle s’empala dessus, elle sentit le pieu s’enfoncer en entier dans son corps et le plaisir si fort la plia en deux. Elle commença sa chevauchée en remontant doucement la hampe et quand le gland était au bord de ses lèvres vaginales, elle se laissait tomber dessus. Dans la chute, elle se sentait transpercée, le gland lui frappant le col de l’utérus. Le plaisir était à la hauteur de son désir. Jamais elle ne s’était sentie aussi remplie, presque déchirée. Elle n’aurait pas cru qu’un homme puisse un jour lui donner ce plaisir. Ils étaient ...
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