4 histoires courtes
Datte: 10/09/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
jeunes,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
grossexe,
sales,
vacances,
campagne,
fête,
amour,
fsoumise,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
exercice,
occasion,
... après son travail d’ouvrier en mécanique, il prenait ces anciens chemins de gabares pour profiter du calme des rives, ou seuls quelques pêcheurs de tous âges laissaient paresseusement traîner l’hameçon au fil de l’eau. Ce jour-là il faisait chaud, le printemps était sec cette année. Sur son VTT, Serge prenait le temps de s’arrêter parfois pour discuter de pêche, d’autres fois pour observer la nature ou des amoureux. Ce jour-là sur son chemin, il remarqua cette femme accompagnant son pêcheur de mari. Elle était vêtue d’une jupe légère, allongée sur le dos, se reposant sur une couverture parallèlement à la berge. Marie avait remonté ses jambes, laissant voir ses cuisses fines et gracieuses. Serge ne vit que ses épaules et ses jambes car elle avait la tête tournée du côté du fleuve, mais elle semblait bien plus jeune que son mari qui était, quant à lui, les pieds dans l’eau, la canne à la main et semblait avoir la cinquantaine passée. Serge s’arrêta quelques mètres plus loin et jeta un œil derrière lui. Il pouvait presque voir l’intimité de la jeune femme. Il posa son vélo et se rapprochant discrètement dissimulé par quelques arbustes, il se retrouva à moins deux mètres de Marie. Elle se tourna, à ce moment, se couchant complètement sur le dos, les jambes remontées et la robe tombant juste sous les genoux. Serge vit alors, à travers les branches peu épaisses, entre les cuisses de la jeune femme, une toison légère qui ne cachait qu’à peine ses épaisses lèvres vaginales. Marie ...
... n’avait exceptionnellement pas mis de sous-vêtements ce jour-là. Le cœur de Serge battait de plus en plus vite, il aimait cette sensation de voir sans être vu. Serge observait cette vision du paradis sur Terre quand il entendit le mari appeler sa femme. — Marie ! Passe-moi l’épuisette ! Serge recula vivement pour s’installer quelques mètres plus loin. La jeune femme rêveuse sortit de sa torpeur, se leva, saisit l’objet et le tendit à son mari. Lorsqu’elle retourna à sa couverture, elle aperçut Serge derrière les buissons. Celui-ci était allongé, les jambes relevées dans sa direction, en short court et ample, ce qui laissait apercevoir un peu de la masse sombre de son entrejambe. Marie était loin de se douter que Serge s’était volontairement installé ainsi pour elle et qu’il attendait sa réaction. Elle voyait cet homme d’une trentaine d’années, avec un beau corps d’athlète, les cuisses musclées, le torse nu large et couvert de poils bruns, le ventre plat et sculpté par la musculature des abdominaux. Marie fut saisie à l’entrejambe de frissons, puis d’une chaleur qu’elle connaissait parfois quand elle voyait à la télévision de ces modèles masculins à la plastique parfaite. Elle regarda Serge par-dessus le buisson quelques instants encore puis elle se décida. — Robert, je vais faire un tour.— Ouais, d’accord ! Elle se dirigea dans la direction de Serge, ne sachant que faire. Puis quand elle fut presque à sa hauteur, Serge se releva sur le coude et la regarda venir, un large sourire ...