1. 4 histoires courtes


    Datte: 10/09/2017, Catégories: fh, hplusag, hagé, jeunes, extracon, inconnu, Collègues / Travail grossexe, sales, vacances, campagne, fête, amour, fsoumise, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, exercice, occasion,

    ... plus mais je jouis sans retenue, je sentais mon sexe se contracter sur le sien et je jouissais encore plus. C’était la première fois que j’avais un orgasme comme ça, violent et profond dans mon ventre, mais pourtant je sentais que j’avais encore envie de plus. D’habitude, après un orgasme, je n’ai plus envie de sexe, mais là je voulais encore jouir, encore et encore. Je continuai alors ma chevauchée, la tête posée au creux du cou de ce personnage si vieux et vilain, et qui pourtant me donnait tant de plaisir et de bonheur. J’étais remplie, comblée pleinement, physiquement et mentalement, cet homme me faisait un bien fou, je me remplissais de son être à chaque va-et-vient de mon corps sur le sien. Je jouissais sans interruption et sans retenue de toute ma chair et de toute mon âme. Je criais dans son cou et lui me tenait la nuque de la main. Cela faisait presque une heure sûrement que j’allais d’orgasme en jouissance et de jouissance en orgasme quand il me bascula sur le dos sans sortir de moi. C’est lui qui à présent me baisait, il me limait de toute son énergie et sa virilité me labourait le ventre. Je sentais son poids sur moi et, mes talons dans son dos, j’étais offerte à l’arrivée de sa semence comme une femelle en chaleur. Il me baisa ainsi encore de longues minutes, de plus en plus rapidement et violemment, faisant monter un raz-de-marée en moi, soufflant et ahanant. Puis je le sentis tressauter et il se redressa sur ses bras pour jouir, profondément planté dans ...
    ... mon sexe, au fond de mon vagin. Je sentis la semence se verser en moi, tapissant mon vagin dans un flux ininterrompu, ce qui me fit éclater une nouvelle fois dans un dernier orgasme qui me dévasta totalement. Lorsque je repris conscience, il était allongé près de moi, le sexe mou mais toujours aussi impressionnant, il dormait. Je m’approchai de lui et je le pris en bouche afin de le nettoyer de nos substances sexuelles. Il ouvrit les yeux et me dit : — Demain matin, je t’attendrais à 10 heures, maintenant va-t-en. Je repris mon vélo, désorientée, lessivée, mais comblée. Sa semence coulait de mon sexe endolori sur la selle du vélo, et je trouvais cela formidable. Le soir-même, je me caressai dans mon lit alors que mon mari dormait à mes côtés et je jouis en pensant à cet après-midi-là. Le lendemain à 9 h 30 je pris mon vélo et je le rejoignis, le surlendemain aussi et ainsi presque tous les jours des vacances. Mon mari ne s’est jamais inquiété de rien, et quand durant l’année je passai toutes mes vacances scolaires dans le Lot à me faire baiser par cet homme, mon mari ne se douta de rien. Mais à Pâques, quand j’arrivai, j’appris ce que je ne pensais pas imaginable : il venait de mourir. À son enterrement, je fus triste, cachant ma peine parmi les membres de sa famille que je découvrais pour la première fois. Apprenant d’une femme que les deux grands gaillards d’une vingtaine d’années qui pleuraient sur la tombe étaient ses petits-fils, l’idée me traversa qu’un homme si ...
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