4 histoires courtes
Datte: 10/09/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
jeunes,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
grossexe,
sales,
vacances,
campagne,
fête,
amour,
fsoumise,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
exercice,
occasion,
... cri qui passe pour un cri de joie ou d’effroi au milieu des autres. Mon caresseur est devenu doigteur. De ses deux doigts dans la chatte il me rend folle, faut pas que je reste là. Tout d’un coup je vois le château hanté. Je me dégage de la foule, mon doigteur sort de mon sexe, et sans me retourner, je vais directement vers l’entrée du château, prends une place et entre sans un regard en arrière. Je prends place dans un wagon, il y a deux places. Ça démarre, et j’entre dans le tunnel. Mon wagon s’arrête, un squelette hideux passe devant moi, je crie et je ferme les yeux. Je sens que quelqu’un saute dans mon wagon, je crie encore plus fort, mais je ne rouvre surtout pas les yeux, je ne veux pas voir la personne près de moi, je ne veux rien savoir d’elle. Le wagon repart, j’ouvre les yeux, il fait noir. Une main se pose immédiatement sur ma cuisse, la même main que tout à l’heure. Je me tourne mais je ne distingue rien de mon passager. Une araignée géante tombe dans mes cheveux. Je hurle et me jette contre l’épaule de mon voisin. Il ouvre les bras et je me cale contre son ventre, les yeux clos. Sa main caresse ma nuque pendant que l’autre trifouille sa braguette, j’ouvre les yeux et je vois surgir d’un short une bite bandée, d’une incroyable largeur, les veines épaisses, noueuses et gonflées, et le gland rouge vif, agressif. La main me presse la nuque en direction de l’animal qui brille dans la pénombre, réclamant son plaisir. Ma main attrape la tige dure et pleine, ma tête ...
... suit le mouvement, et ouvrant les lèvres, je gobe le gland en entier dans ma bouche. Fermant les yeux, mon esprit est tout entier à sucer, à caresser, à lécher. Je ne pense plus à rien d’autre, je me sens bien, je n’ai plus peur des monstres qui hurlent dans le tunnel. Pendant que mon caresseur s’est remis à ses caresses, j‘ouvre entièrement la braguette pour caresser les couilles et découvre les poils gris qui les recouvrent. Étrangement cela m’excite encore plus, mon sexe coule sur les doigts qui me pénètrent maintenant en profondeur. Je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes là, mais je sens le sexe gonfler par saccade dans ma bouche, prêt à déverser sa liqueur de vie. Il me caresse habilement, je sens la jouissance monter. Je le masturbe de plus en plus vite, gardant mes lèvres serrées autour du gland quand des jets chauds et odorants tapissent mon palais d’un liquide onctueux que je me presse d’avaler le plus possible, et je jouis aussi, ouvrant la bouche et laissant échapper un filet de sperme sur mon menton. La main me redresse m’embrasse sur la bouche et nettoyant les traces, pendant que l’autre rentre l’animal dans sa cage. Et la lumière jaillit d’un coup, nous sommes dehors, le tour est fini, j’ouvre les yeux, me réajuste rapidement, et tourne la tête doucement vers mon voisin. Mince, c’est mon prof de maths. Chaque semaine, Serge avait pris l’habitude de faire quelques heures de VTT le long des berges du fleuve qui parcourait la région. Souvent, le soir, ...