Une souris et des hommes
Datte: 07/11/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
vacances,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
... mon marécage, et Ibrahim n’en finit pas de me téter l’un et l’autre à tel point que mes bouts sont gonflés et douloureux. Fatal qu’après un tel traitement, les appendices sollicités par l’un et l’autre soient hypersensibles ; l’épreuve vire au supplice, un réel supplice où la souffrance l’emporte sur la jouissance : je ne peux simplement plus supporter qu’on touche mon clito ou l’un de mes tétons. Greg serait à l’ouvrage, je l’inviterais à cesser sur le champ puis à me couvrir pour me pénétrer sans manière ; j’en ai envie, terriblement envie. Greg ! Greg ! Grrr… Cela aurait dû être lui s’il n’avait pas été si con… Depuis combien de temps ne m’a-t-il pas fait une lichette ? Un an… Plus peut-être. La vindicte n’est pas absente dans ma décision d’engager la suite. Il m’est loisible d’amener le visage du sumo à ma portée ; c’est à mon tour de m’emparer de ses lèvres et ce que je lui ai refusé, je le lui offre maintenant. J’expédie ma langue en éclaireuse. Il me laisse pénétrer ; nos langues s’apparient et luttent un moment, assez longtemps, puis je décide de me retirer. Je ne sais pas si j’ai aimé – pas tellement à vrai dire – et la référence à Greg est toujours là dans un coin de ma tête. J’ai des regrets de m’être embarquée dans cette aventure et mon désir est un peu tombé ; je suis pressée d’en finir. — Prends-moi ! commandé-je au sumo. Je n’ai pas pris la peine de jouer l’énamourée. L’idée d’en rester là m’a effleurée, mais je ne suis pas du genre à me défiler à mi-parcours. ...
... Si je suis nue, lui ne l’est pas. L’exécution de mon injonction implique des préalables pendant lesquels survient une controverse à laquelle je ne comprends goutte, vu que je ne parle pas wolof. Le maître m’explique que son assistant veut me photographier et que lui ne veut pas. — Juste ton clitoris, précise le fauteur de trouble. Qu’a-t-il donc de si remarquable ? Je vérifie à l’aveugle : une boule gorgée de sang, bien ronde et très sensible jusqu’à en être douloureuse. Le prendre en photo ? Cela m’amuse plutôt ; pourquoi pas ? Pourvu que la chose reste anonyme. — OK, mais fais en sorte qu’on ne voie pas mon visage. Je n’ai pas du tout envie de retrouver ma bobine sur Facebook ou ailleurs. Sitôt dit, sitôt fait : les flashes crépitent ; je demande à voir. Plus porno, tu meurs ! On parle parfois de « moule » pour désigner le sexe féminin, je comprends pourquoi. Des photos d’une moule géante, béante et écarlate, parée d’une perle phénoménale, défilent sous mes yeux. Je sais : ordinairement, les perles sont associées avec les huîtres, pas avec les moules. Mais ma moule à moi est un hybride à part. Pendant ce temps, Ibrahim a fini de se déshabiller ; on pressent le muscle sous la graisse : il dégage une impression de puissance, de force, et j’ai déjà remarqué combien il est agile malgré son embonpoint ; mais question sexe, il n’est pas mieux loti que monsieur tout-le-monde. Dans un sens, je suis déçue : j’étais persuadée que les Noirs en avaient une plus grosse. Je ne sais pas ...