Une souris et des hommes
Datte: 07/11/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
vacances,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
... curiosité, mais je ne suis pas assez délurée, pas assez volontaire. Lui n’est pas de cet avis. — Tu m’as l’air d’une chaude lapine. Si ça lui chante ! Et ce disant, il écarte mes cuisses. Ses doigts s’insèrent dans ma fente, déjà passablement humide, font deux ou trois allers-retours de haut en bas, de bas en haut avant de repérer et déloger le clitoris qu’ils étirent, roulent et triturent avec une certaine vigueur. Je gémis sous le supplice. Il n’a cure de ma plainte dont il s’amuse à moduler la tonalité, puis soudain : — Tu sais que tu as un clitoris très agréable, facile à manipuler ? Beaucoup de Sénégalaises n’ont plus qu’un moignon, voire plus du tout. Et après ça, on me dira que les hommes sont concentrés sur le plaisir qu’ils nous donnent ; comme si c’était le moment de débattre de l’excision de ses compatriotes ! Je ne lui en veux pas ; mes propres pensées se dispersent aussi. — Tu as des préservatifs ? J’anticipe la suite, déjà dans ma tête, et me soucie de sécurité. Le voici qui beugle, un échange oral, puis Ahmed rapplique et me tend une boîte de capotes. On nage en plein délire, je suis ébahie. J’ai beau ne pas être pudique, ce n’est quand même pas tous les jours que je me montre à poil devant le premier venu. Et on me réserve encore une surprise. — Tu veux qu’il te suce ? propose Ibrahim en martyrisant à nouveau mon clito qu’il n’a pas lâché pendant l’intermède. Il me fait mal. Je me rebelle, referme le compas. De son côté, le jeune homme manœuvre. Je ne le ...
... vois pas, mais je sens qu’il saisit mes chevilles, place mes jambes sur ses épaules. Je proteste, regimbe… La prise a pour effet de surélever mon bassin ; je me retrouve dans un équilibre atypique, en appui sur mes omoplates, tête en bas. Je n’ai pas encore pleinement réalisé ce qui m’arrivait ; je sens la tête du jeune homme forcer mes cuisses, il prend position, sa langue remplace les doigts de son aîné : elle est diabolique. En mon for intérieur, je sais déjà qu’ils ont gagné la partie mais je gigote encore, sans conviction. Du cinéma, histoire de garder la face. En vérité, je n’ai plus que le désir de me montrer obéissante. Insensiblement, je relâche mes muscles, desserre l’étau de mes cuisses et tends le bassin, désireuse d’offrir ma fleur à butiner. Le mâle fouille de la truffe et déniche le bouton déjà passablement sensible. Je sens qu’il s’en empare, le roule de sa langue et aspire, aspire… La Terre peut arrêter de tourner, je m’en fiche. Ibrahim ne reste pas inactif ; il s’installe sur le téton qu’il n’a pas encore honoré. La sensation n’est pas aussi puissante que celle que me procure son cadet, mais les deux se complètent délicieusement, l’orgasme pointe à l’horizon. Je ne fais rien, juste attendre et guetter l’éclosion ; c’est divin. La suite n’est pas moins géniale : ils m’ont gratifiée d’un premier orgasme, un autre s’annonce… Je pense qu’ils s’en sont rendu compte. Ils me savent à leur merci et redoublent d’énergie. Ahmed s’empiffre pire que jamais, le groin dans ...