Une souris et des hommes
Datte: 07/11/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
vacances,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
... aussi bien visuel que tactile et gustatif. Je goûte, je lèche, je mâchouille, je palpe et branle à ne plus savoir où donner de la tête et de la main. Je ne me lasse pas d’explorer ce mât somptueux. Lui est plus impatient ; mes mignardises l’agacent, il sent venir le jus et craint de gicler avant d’avoir tiré son coup. L’annonce m’alarme ; je stoppe mes agaceries et fais en sorte de faire baisser la pression. Dès lors, je le laisse décider. Il dit avoir un faible pour la position dite del’Amazone ; à croire que les Sénégalais apprennent tous le Kâma-Sûtra… Pour une fois, je sais de quoi il retourne et suis d’accord. Il n’est pas long et apporte un solide tabouret sur lequel il prend place ; je m’assois à califourchon sur lui. Dans le mouvement, j’ai placé le gland de son sexe à l’entrée de ma grotte. Je l’y introduis à petits coups de reins ; lui joue les touristes : une de ses mains explore ma fesse, l’autre mon sein ou tantôt titille le téton. Dans cette position, c’est moi qui commande. Je m’arrange pour conduire une pénétration lente et continue, puis m’attarde en bout de course, savourant l’impression enivrante d’être remplie, et bien remplie ! Si je ne me retire pas, je ne reste pas pour autant inactive, loin de là. J’alterne des ondulations du bassin et la contraction des muscles vaginaux ; je m’inscris dans la durée : marre des éjaculateurs précoces ! Dans le même temps, je lui donne mes tétons à lécher, puis mes lèvres. Je viens de réaliser que je ne l’ai pas encore ...
... embrassé et que j’en ai envie. C’est parti pour la galoche ; la visite de son palais me laisse un goût pimenté semblable à celui que j’ai trouvé chez son aîné, ce qui me donne à penser que je sais désormais ce qu’ils ont mangé pour dîner. Ne ferais-je pas un excellent détective ? À part ça, il lui manque une molaire. J’y cale le bout de ma langue quand la sienne cherche à me déloger. Elle est plus costaud que la mienne ; du coup, il me refoule dans mes quartiers et vient y dicter sa loi. Ce type a de la ressource, il lutte sur plusieurs fronts. Pendant que nos langues bataillent, il entreprend de mouvoir mon bassin. J’imagine qu’il me trouve un peu trop statique ; il assure sa prise au niveau des hanches, et alternativement m’attire et me repousse, m’invitant à poursuivre moi-même ces mouvements d’avant en arrière que je suis censée conduire. Puisqu’il le veut… Je m’y colle. Je ne nie pas le plaisir que j’y trouve, mais le prix à payer se mesure en litres de sueur. Je transpire par tous les pores, je fonds, je dégouline. Il m’aide, c’est vrai… Ses battoirs plaqués sur chacune de mes fesses accompagnent ma poussée à chaque rentrée sur le piston ; il se réserve surtout pour la fin de course : il donne alors la puissance et fait en sorte que son sexe s’enchâsse au plus profond dans le mien. Je voulais des sensations, je suis servie… Je monte au septième ciel bien avant qu’il n’éjacule et j’y reste, âme errante en stratosphère. Ma félicité gagne un nouveau sommet quand sa verge ...