1. Le "G", le ripou et les belles nanas (1ère partie)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fh, grosseins, préservati, pénétratio, fsodo,

    ... caleçon, elle implore la libération, de l’air, de l’air… — Vas-y oui, oh putain c’est trop bon, oui ! Warda pousse soudain un cri rauque et s’effondre dans le canapé, haletante. Je glisse ma langue sur ses deux magnifiques fesses bombées, lentement, histoire de bien savourer leur goût. Là j’en peux plus, il faut que je sorte mon engin sinon il va s’étouffer. Warda se retourne à ce moment-là et change de couleur en le voyant. — Oh la vache ! Tu crois que ça va rentrer ?— Mais oui, t’inquiète…— Bah si je m’inquiète, je veux pas rester debout pendant une semaine à cause de toi ! Parce que je t’explique, je prends que par derrière, je veux rester « vierge de devant »… Elle ne rougit pas du tout en me disant ça. Juste par les fesses ? Y a pas de soucis, baby, entrer dans un aussi joli cul, c’est pas tous les quatre matins que ça se présente… Elle se relève et me repousse en arrière, ça, j’adore quand elles prennent les choses en main. J’ai à peine le temps de réaliser qu’elle était déjà à quatre pattes devant moi, et ses mains s’emparent de mon membre droit comme un i. — Putain, je sais même pas si elle va rentrer dans ma bouche.— Non, mais c’est bon, fais-je, pas peu fier. Ne va pas te démonter la mâchoire non plus… Lèche-la, baby, vas-y, lèche-la, imagine une grosse glace au chocolat. Elle se penche et sort sa langue, qu’elle fait courir sur ma queue, de haut en bas, de long en large, elle la tourne autour du gland, oh la vache, j’en ai le tournis. Je vois trente-six chandelles, ...
    ... et elle fait durer le plaisir, et voilà qu’elle descend me lécher les noix, ah ça c’est mon point faible, je me raidis tout à coup, en plus elle n’y va pas de main morte, elle les suce, elle les lèche… — Oh, putain comment c’est trop bon… Vas-y, bouffe-les… Faut que je me calme, que les battements de mon cœur ralentissent, que cette chaleur intolérable me quitte, sinon je vais tout lâcher moi, pourtant je devrais avoir de l’endurance avec tout ce que j’ai donné à Rita cette nuit et ce matin… Je ferme les yeux et me laisse aller dans le canapé. — Oh la vaaaaaaaache ! Elle doit sentir qu’il ne faut plus insister, et se redresse. J’arrive à peine à reprendre mon souffle, j’ai l’impression d’avoir une bombe atomique dans le bas-ventre. — T’as de la vaseline ?— De quoi ?— De la vaseline, pour m’humidifier ?— Euh… Je me lève, la queue palpitante, elle l’embrasse au passage. Je vais demander à Since, tiens, s’il a ça. — Bouge pas, bébé, je reviens. Je traverse le salon, gagne le couloir et toque à la porte de Since. Il hurle : — Quoi ?— T’as de la vaseline ? Britany pousse soudain un hurlement : — Non, continue, sors pas, putain !! Sors pas !! Remets-la !! La porte s’entrebâille et le visage couvert de sueur de mon pote se présente sous mes yeux. — Tu veux quoi ?— Warda a besoin de vaseline.— Euh, j’en ai pas. Tu vas l’enculer ?— C’est bien parti, ouais.— Alors ? me fait justement la demoiselle du salon.— J’arrive !— Bah non, me fait Since, j’en ai pas, désolé. Je jette un œil dans ...