Le "G", le ripou et les belles nanas (1ère partie) - Histoires de Sexe

Le "G", le ripou et les belles nanas (1ère partie)

... la chambre, mais il me claque la porte au nez. — Bon, bah… Bonne bourre ! Je reviens dans le salon. Warda est à quatre pattes et se caresse langoureusement en m’attendant. — Viens, dépêche-toi.— J’en ai pas, de la vaseline… Elle fait un peu la gueule, mais j’ai soudain une idée. — Attends-moi, bébé, je vais chercher un truc.— Non mais t’es sérieux ? me demande-t-elle en me voyant revenir. Bon, j’avoue qu’elle peut être quand même étonnée de me voir avec un tube de mayo. Je hausse les épaules et laisse tomber l’emballage du préservatif à terre. — Bah ouais, c’est tout ce que j’ai pu trouver… Elle se retourne et me présente ses fesses. Je presse le tube de mayonnaise et en dépose un peu sur mon doigt. C’est la première fois que je fais ça avec ce genre de truc… Mais bon, comme on dit, il faut un début à tout… Elle a l’air d’apprécier en tout cas. J’en dépose un peu sur son anus et y introduis doucement un doigt. Elle gémit. — C’est bon ?— Ouais… Hum… J’en peux plus moi, il faut que j’entre en elle, sinon je vais exploser ! — J’y vais, baby, n’aie pas peur, je vais pas te faire mal… Malgré mes paroles, je la sens qui se crispe. — T’inquiète pas bébé, tu vas l’aimer, ma queue… Je pose mon gland sur sa pastille et appuie doucement. — Ah là là…— Mais non, relax… Pense à autre chose… On entend soudain un long hurlement rauque, venant de la chambre de Since. — Putain, quand elle jouit, celle-là, on est tous au courant ! remarque Warda. J’en profite pour m’enfoncer en elle tout ...

... doucement, centimètre par centimètre, tout doucement… Elle gémit mais semble se détendre un peu. — Hum… Je ferme les yeux en sentant ses fesses m’engloutir. C’est trop bon ! Le genre de sensation qui me fait palpiter le cœur… Elle gémit, se cambre, les yeux clos, les mâchoires serrées, alors que je commence à bouger, aussi lentement que possible. — T’as pas mal ?— Non, ça va, je m’attendais… Hum ! À pire que ça ! Et ouais, baby, je suis un pro, il paraît. — Accélère, vas-y… Au bout de cinq minutes, j’entre en elle et ressors à grande allure, elle commence à crier, et moi aussi, parce que son cul, je pourrais y vivre, tellement on y est bien serré et au chaud ! — Warda, Warda ! J’adore crier leur prénom. Maintenant je la prends de toutes mes forces, elle hurle, je l’attrape par les cheveux et là c’est l’explosion, je sens tout son être qui se raidit, elle hurle, un orgasme fulgurant. — Oui ! Oui ! Et je me lâche à mon tour dans le réservoir de la capote, dans un long gémissement rauque, et j’ai des frissons qui me clouent sur place. Quand je me réveille, c’est d’un coup, en sursaut la plupart du temps. Là, ça n’y coupe pas. Et je me retrouve avec les seins de Warda devant les yeux. On a connu plus désagréable, comme réveil. J’émerge lentement, par à-coups, et je jette un œil à l’heure affichée au magnéto de Since : 4 h 39 du mat’. Ah putain ! On s’est écroulés sur le canapé, ma belle beurette et moi. Et pis en plus, elle est écroulée sur moi, elle ronfle, et elle prend de la place ! ...