1. Et après?


    Datte: 11/11/2019, Catégories: ff, jeunes, freresoeur, vacances, amour, volupté, intermast, Oral 69,

    ... moi. Ses cheveux pendent devant son visage. Nos bouches collent l’une à l’autre, des traces humides se forment sur nos joues et nos mentons. Et ma main de grimper dans l’abîme. — Descends ! lui murmuré-je. Elle se laisse tomber complètement sur moi et s’empale sur trois doigts inclinés à la perfection. Je glisse en elle et entame une banale chorégraphie de doigts. Petites lèvres, clitoris. Autres endroits. Partout où coule quelque chose de chaud et de visqueux. Elle m’embrasse éperdument. J’ai le cœur qui perd le rythme. Je pose mes jambes par-dessus les siennes. Nos mollets se touchent. Je l’enserre dans cet arc de cercle. Nos bas-ventres se touchent, seulement séparés par ma main qui s’agite en elle. La sienne galope vers mon entre-jambes. Son index s’insère en moi. Un râle de plaisir s’échappe de ma gorge. Ma langue s’enfonce plus profondément encore dans sa bouche. Je voudrais pénétrer sa gorge. J’ai honte de n’avoir que ma main à lui offrir. Je lui explique la situation et elle anticipe. On se retourne encore et je viens dévorer son sexe avec les dents. Ma langue tâte et caresse son clitoris. Mon nez hume son odeur et mon visage s’imbibe de ses fluides. Mes mains saisissent ses fesses. Je l’attire plus fort contre ma bouche. Mes lèvres fusionnent avec sa chair muqueuse. Mon index prélève un impeccable fluide de glissement et force l’entrée de sa petite vallée fessière. Je triture cet endroit intime. J’assaille Garance partout où c’est possible. Mon majeur rejoint ...
    ... mon index au creux de son anus. Elle tressaute, prise de convulsions. Et elle émet des petits jappements inédits. J’abandonne le travail de ma bouche et la remplace par ma main. J’ai l’impression de jouir en même temps qu’elle cette fois. Par la force de ses doigts, par la texture veloutée et ardente de sa peau, par le goût de son corps liquide, par les sons de sa gorge et par l’immensité de l’attraction qu’elle exerce je m’offre un orgasme première classe. Il déchire et se tarit, puis renaît plus fort encore et ondule en moi. Comme un serpent à l’agonie qui se fraye un dernier chemin. Je crie. Oui ! je crie. Un « ahh » rauque et long. La seule chose que j’ai pu émettre. Et l’orgasme s’apaise, mais les doigts Garanciens continuent leur torture humiliante. Et je m’agrippe à elle, perdue et affolée, elle ne s’arrête pas. Et l’orgasme imminent revient en fanfare. Il me brise et m’abandonne et il revient encore lorsqu’elle mord ma lèvre inférieure jusqu’au sang. Et je m’en fous de ce qu’elle ressent. J’ai peut-être même arrêté de la masturber. Alors, je me concentre et je la triture avec tout ce qu’il me reste d’énergie. Elle se tord, semble s’enrouler autour de mes trois doigts plantés à la verticale dans son ventre. Je la défonce. Mon bras libre l’entoure par les épaules, sa tête se cale au creux de mon cou et elle expulse l’air de ses poumons contre la chair qui recouvre ma clavicule. Un air brûlant et humide. Elle hoquète et des spasmes la font se cabrer. On explose avec le ...