1. Et après?


    Datte: 11/11/2019, Catégories: ff, jeunes, freresoeur, vacances, amour, volupté, intermast, Oral 69,

    ... tonnerre. On se décolle du matelas en un seul corps. Elle s’affaisse sur moi encore vibrante. Et je continue mollement de la tripoter. Ses cuisses se serrent. Et nos ventres se calment. Et elle reste échouée sur moi, le menton contre mon épaule. Elle pleure dans l’oreiller. Ses doigts restent en moi et les miens restent en elle. Son poignet ne bouge plus. Alors, j’agite le bassin et ils caressent encore mon clitoris trop douloureux. J’ajuste la position et m’excite encore un peu sur ses doigts figés en moi. Et tout est terminé. Nos mains sortent. Elle se glisse sur le flanc et on se fait face. Nos respirations sont rapides, syncopées. La sueur perle sur son front et elle est belle dans l’extase. Elle me complimente avec tout le désespoir qu’elle peut mettre dans sa voix : — T’es bonne ! J’ai dû lui caresser le dos pendant quelques minutes. Le temps qu’on reprenne possession de nos moyens, que le vertige s’éloigne, que le tangage s’atténue. Sa main a entouré mes doigts et s’est calée contre ma paume. Amélie humide de Garance et Garance humide d’Amélie se sont endormies lovées l’une en l’autre. ---oooOooo--- L’aube allait apparaître dans quelques minutes lorsque je me suis réveillée. La lumière d’un soleil encore rosé filtrait à travers les fentes du volet. La douce chaleur qui régnait dans la pièce était renforcée par la tendre et humide tiédeur du corps de Garance collé au mien. Elle dormait. Je voyais les flans de son nez se soulever régulièrement. Ses lèvres étaient sèches ...
    ... en leur milieu, mais collées l’une à l’autre par une humidité gluante. Sa main reposait tout près de ma cuisse et je fis en sorte de me mouvoir pour la recouvrir. Elle était fraîche. N’y tenant plus je posai ma bouche contre la sienne. Imperceptiblement elle frémit. J’avale le souffle qui s’échappe de son nez. Ma lèvre supérieure se glisse entre les siennes qui se décollent finalement. Elle se débat et referme ses lèvres sur la mienne. Sans ouvrir les yeux, elle glisse sa langue vers mes incisives. Nos bouches s’emmêlent. Je la réveille par ce baiser. Sa main s’échappe de sous ma cuisse et vient épouser la forme de mon oreille et de ma joue. Son autre main me serre par la taille. Nos corps se meuvent dans un froissement de draps. Je l’enjambe et elle pousse un petit soupir entre l’envie et la colère douce d’être obligée de quitter le sommeil. Son haleine tiède et douce m’enivre d’arômes matinaux. Elle murmure : — Tu as bien dormi ?— Oui très. Toi aussi je pense, tu n’avais plus peur de l’orage n’est-ce pas ? J’ai envie de toi mon petit ange. J’embrasse la peau de son cou et celle sous le menton. Ma divine se livre passivement. Passons sur les baisers que l’on rejoue aussi fort aussi bien. Un avion de chasse perfore mon ventre et lance ses missiles quelque part contre mon utérus. Un orgasme comme une grande. Je le voudrais en pyjama, je la voudrais avec des tresses, je le voudrais en mangeant une glace à la vanille, je la voudrais endormie. Jouissance en silence en me collant ...