1. Matchs de footre (4)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... c’est moi qui la baisais jusqu’ici... et je sais pas si j’aurais baisé ma belle-sœur... — Tu parles ! T’es un obsédé du cul ! T’as toujours été un queutard de toute façon... Déjà quand j’étais plus jeune je regardai la mémoire de ton PC pour voir les pages de cul que tu te tapes. Ça en fait des heures de branlette ! — Et papa... ? — Ben, il nous a surpris... alors on l’a associé... — Sans remords ? — Ça fait un peu drôle au départ mais c’est un vachement bon coup ! Hein p’pa ? — Je me débrouille modestement, dit-il. — On arrive ! — Tu l’as bien cherché Alex, depuis le temps que tu me trompes... me dit ma femme... La prochaine fois que tu baises chez un de tes potes, ramène au moins ton slip, et pas celui d’un autre... Et tu crois que je remarque pas quand tu rentres et que tu pues la chatte ? Je fais la différence avec tes eaux de toilettes, tu sais ! J’étais pris en faute à nouveau... — On va pas s’expliquer ici... mais au lit, j’ai toujours eu l’impression que tu t’ennuyais... alors... — C’est sûr... on aurait pu en parler... Enfin maintenant le mal est fait... — Le mal, le mal, pas pour tout le monde ! ajouta mon père pour rigoler. C’est ainsi que nous arrivâmes sur les lieux de la partouze. Quand j’entrai dans la salle, on venait de marquer le troisième but dans l’euphorie générale saluée par un désapage collectif. Tout le monde était à poil là-dedans et on s’embrassait en se tripotant pour célébrer le but qui ...
    ... allait nous qualifier à coup sûr. Je fis les présentations. Les trois minettes qui étaient excitées comme des puces entourèrent ma femme et commencèrent à la peloter et à la bisouiller. Après un mouvement de recul, n’étant pas familiarisée sans doute avec les plaisirs saphiques, elle capitula sous l’amicale pression des trois complices et pendant la fin du match, ce qui ne prit que quelques minutes, elles passèrent leur temps à se gouiner en se chauffant la raie à coups de doigts et de langue, si bien que nous regardions la téloche d’un œil distrait... Très distrait. Tous les garçons triquaient comme des ânes. Enfin le match s’acheva sur le score de 3-0 et notre qualification. jejggih Ce fut l’hystérie. — On est en finale, on est en finale, on est on est on est en finale... — Champagne ! Cria quelqu’un — Champagne et bite au cul renchérit Jonathan. C’est open-bar, Champagne et filles à volonté ! — Ouais ! Reprit toute la salle en chœur ! — On s’organise, suggéra Loïc. Je propose qu’on aille dans notre piaule, y a tout le matos qu’il faut. Comme l’immeuble n’avait toujours pas d’autres locataires que nous, la société au complet se déplaça en tenue d’Adam (et Eve), la honte en moins et les gestes en plus car on ne s’arrêtait pas de palper à droite ou à gauche. Les seins étaient gonflés, les chattes étaient mouillées et les queues étaient raides. La troisième mi-temps promettait de bien jolis tirs aux putes... A suivre 
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