1. Mon Ami (02)


    Datte: 16/11/2019, Catégories: fh, hh, fhh, hbi, copains, Masturbation intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, hsodo,

    ... bruits m’excitaient au plus au point. Je l’observais, la regardais. Son corps se penchait vers moi m’offrant ses seins ballottant au rythme effréné de nos ébats et de mes coups de rein. L’apogée était proche. Je frôlais mes joues contre ces deux sphères magnifiques qui me rendaient fou d’excitation cherchant à happer de ma bouche, au passage dans le mouvement ses mamelons durcis de plaisir. Ma femme se cambra, roulant des yeux, dans un râle de jouissance, ne contrôlant plus son corps électrifié de spasmes. Elle contractait son vagin à l’extrême. Après un dernier coup de rein, tout à coup, mon sperme fusa, je l’irradiais d’un tressautement orgasmique. L’extase dans un sentiment d’immortalité totale. Une étreinte d’une force rare. Elle s’affala sur moi, se mit sur mon épaule, une jambe sur mon bassin. Elle reprenait son souffle, s’apaisait. Je sentais avec plaisir mon sperme couler de son orifice sur ma cuisse. J’aimais ce ruissellement partagé. On s’endormait côte à côte, rassasié d’amour, laissant la fatigue de la jouissance s’emparer de nous. Mon réveil sonna. J’eus presque l’impression de mettre endormis quelques minutes avant. J’avançais au radar jusque sous la douche. En me savonnant j’observais avec satisfaction mon sexe rougi par le rapport de cette nuit. Je pris un café rapide, fis une bise à ma femme et à mes enfants, pris mon sac de voyage et descendis en bas de l’immeuble où m’attendait la voiture de Paul. A ma grande surprise je vis Emma, la nouvelle compagne de ...
    ... Paul assise dans la voiture. J’étais sidéré d’incompréhension et de stupéfaction. Je regardais Paul d’un air interrogateur en lui demandant si ma présence était vraiment nécessaire. Il me répondit : — Monte connard avant que je te botte le cul. Elle sortit de la voiture pour m’embrasser et insista lourdement pour me laisser devant avec Paul. Je refusais avec la même lourdeur et m’engouffrais dans la voiture sur la banquette arrière. Je pensais passer un week-end en duo masculin avec mon pote et je constatais que j’allais tenir la chandelle à un couple d’amoureux. Je fis la gueule jusqu’au déjeuner. Je me renfermais, m’isolais, me sentais agressé. Paul me regardait de temps à autres dans le rétroviseur. Les conversations étaient plates et dénuées d’intérêt. Paul restait impassible. Ma vie était dominée par un fantasme. Paul me faisait oublier les règles du bon sens. Je luttais intérieurement de toutes mes forces, sans succès. Je refusais la rechute et la désirais plus que tout. Je balançais entre une fiévreuse appétence de désirs et un sentiment atroce de culpabilité. C’était plus fort que moi. Je n’étais qu’un homme. Je n’aurais jamais dû monter dans cette voiture. Vers midi nous déjeunions rapidement dans un self infect d’autoroute. Aux toilettes je profitais de l’absence d’Emma pour demander quelques explications à Paul. Il me bloqua contre le carrelage du mur et me dit : — Putain tu fais chier Tom, fais confiance à ton pote. Tu vas passer un bon week-end. Alors arrête de ...
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