1. Mon Ami (02)


    Datte: 16/11/2019, Catégories: fh, hh, fhh, hbi, copains, Masturbation intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, hsodo,

    ... faire la gueule s’il te plaît, me lança-t-il sur un ton amer et accusateur.— Tu a raison, excuse-moi, je ne me sens pas bien et ne sais plus où j’en suis, lui dis-je.— Je sais, je te connais mieux que toi-même, me répondit-il en me faisant un clin d’œil et une tape amicale sur l’épaule avant de sortir. Nous approchions de la destination finale. Je proposais au jeune couple de les déposer au chalet et d’aller faire des courses pendant qu’ils installeraient le chalet pour gagner un peu de temps. Après avoir dévalisé l’épicerie, le boucher et le fromager du village voisin je déchargeais la voiture des sacs de victuailles et frappais à la porte du chalet. Paul m’ouvrit. Il était nu. Il sortit et alla en tenu d’Adam jusqu’à la voiture pour y prendre les deux derniers sacs. La réverbération de la neige renforçait la pâleur et la blancheur de sa peau. La vision de son corps dénudé m’immobilisa quelques secondes. La vue de son corps accentuait ma colère tout en attisant mon excitation. Je ressentais un trouble extrême. Pourquoi une telle provocation ? Pourquoi remuer en moi ce désir latent ? Je lui en voulais de jouer avec mes sentiments et ma fragilité. Pourquoi me torturer ? Quel con ! Quand il passa près de moi je lui pris les épaules et le plaquais de toute ma force dans la poudreuse. Paul s’écroula dans la neige lâchant et éparpillant toutes les courses. — Vous allez payer cher votre insolence jeune homme ! criait Paul en riant. Il m’attrapa violemment le pull, le déchirant en ...
    ... partie, et me roula également dans la neige. On se battait et se défoulait déchargeant notre agressivité virile et l’énervement du voyage. Il réussit à me tenir les mains et m’immobilisa totalement. Il me caressait des yeux comme un objet à lui. Il ne pouvait s’empêcher de manifester une certaine possessivité. — Tu es vaincu, me lança-t-il. Il commença par me faire manger de la neige. Je me débattais. Je réussis à dégager une main et lui attrapais fermement sa paire de couilles rougies par le froid de la neige. — Si tu ne me lâches pas, on dîne une purée de rognons ce soir ! lui lançais-je. Il lâcha immédiatement mon autre main et se coucha sur moi de tout son poids. Je bandais. Il le sentait, il souriait. Je lâchais prise, troublé. Il m’embrassa goulûment. Puis il stoppa net en criant « piège » et saisit mes mains à nouveau. Il me tenait les deux mains très violemment avec sa grosse paluche d’ours, ouvrit mon pantalon et me remplit le slip de neige de l’autre main. — Ça te calmera, s’esclaffa-t-il. Je capitulais par la force. Paul me traîna à l’intérieur du chalet, jusque devant la cheminée. Nous étions gelés et trempés. Emma nous regardait du haut de la mezzanine amusée par le spectacle. Une fois sur le tapis devant le feu de cheminée Paul me déshabilla de force devant Emma. J’avais beau me débattre sa force de rugbyman prenait le dessus sur moi. Il arracha mon slip trempé de neige fondue et le jeta dans les flammes de la cheminée. Dans un sursaut de décence je mettais mes ...
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