Charles - Histoires de Sexe

Charles

... frénétiquement, ce qui fait que des petits jets jaillissent de mes tétons pour venir s’écraser sur le lit. — Ah que c’est bon de te ramoner comme une vulgaire truie !— Tu m’l’as déjà dit hier, il me semble…— Pas grave ! Je peux varier et parler de grosse vache bien défoncée et qui jute de partout !— Oui, oui, je jute de partout ! De la chatte et des pis !— Oui, j’vois ça ! C’est plus une chatte que tu as mais carrément un puits, tellement t’es mouillée ! Oh oui, ma chatte est bien limée par la bonne queue de mon homme. Je ne me connaissais pas cette façon de jouir, animale, mais jouissive. Comme quoi que l’on ne connaît jamais vraiment. Toujours à quatre pattes tandis que mon mari me bourre bestialement, je me laisse aller à ce désir trouble, mes mamelles distendues, étirées, telle une vulgaire vache qu’on trait, et je n’ai même pas honte du spectacle dégradant que j’offre ! D’ailleurs, la jouissance qui s’empare soudainement de moi ne me laisse pas le temps de réfléchir à ce genre de choses, si déshonorantes soient-elles… Le lendemain soir, tandis que nous sommes au lit et que mon homme s’amuse avec mes seins, celui-ci m’annonce d’un seul coup : — T’en penses quoi de Charles ?— Comment ça ?— Oui, tu en penses quoi ? Tu le trouves comment ?— Je ne le connais pas plus que ça…— Mais encore ?— Ben… Il m’a l’air un peu… guindé, mais ce n’est pas un imbécile. Ça se sent dès qu’il ouvre la bouche. Il ne doit pas toujours être facile à vivre, car il sait ce qu’il veut.— Bien vu. ...

... Et physiquement ?— Physiquement, il n’est pas trop mal, surtout vu son âge.— Tu le trouves beau ? Il a de ces questions, mon homme ! Je suis un peu embêtée pour répondre, d’autant que je ne saisis pas bien où il veut en venir. — Je ne dirais pas ça comme ça. En tout cas, il n’est pas moche, il a une certaine distinction. Pas mal de femmes aimeraient l’avoir comme mari, mais en même temps, certaines femmes s’en lasseraient vite.— Comme sa propre femme ?— Peut-être, sans doute. On ne peut pas dire que c’est une amusette, par exemple.— Oh ça, tu peux le dire !— Mais il semble sérieux et stable, quelqu’un sur qui une femme peut compter, si tu vois ce que je veux dire. Au fait, pourquoi toutes ces questions ? Mon mari prend le temps d’une petite réflexion. — Je te demande ça car… car mon sous-directeur est fasciné par tes nichons. Il y a fait allusion deux ou trois fois dans la journée…— Oui, ça, je l’avais compris hier, et alors ?— Ben… ça m’amuse et ça m’excite !— Comment ça, ça t’excite !?— Ben oui, savoir que Charles bave sur tes beaux lolos dont moi, je profite, ça m’excite !— T’es un bizarre et un sadique dans ton genre !— Oui, moi, j’ai quelque chose que lui, il n’a pas. Ah ces hommes ! Ils sont toujours en train de jouer à celui qui aura la plus grosse ! Et dans le cas de mon homme, c’est une question de gros seins, de mes seins ! Alors que je cherchais quoi répondre, Philippe continue sur sa lancée : — Oui, il n’a pas, mais je me demandais…— Tu te demandais quoi ?— Quels ...