Charles - Histoires de Sexe

Charles

... avantages si, lui, il avait aussi…— Je ne te suis plus… tu veux dire quoi par là ? Mon mari se redresse puis s’explique : — Dans quelle mesure Charles me saura gré au niveau financier, quand je rentrerai, tu vois…— T’es en train d’essayer de me dire quoi, là ?— En clair, mater tes nichons ! dit-il d’une façon toute naturelle. Je suis assez surprise, voire interloquée. — Que… tu veux que… !?— Faire voir tes nichons, ce n’est pas la mer à boire…— Tu… tu réalises ce que tu es en train de me dire ?— Attends, le Charles, il en meurt d’envie. Toi, tu déballes tes seins pour nourrir la petite. En quoi c’est problématique qu’il fasse tapisserie ?— Mais quand même ! Ça ne se fait pas ! Et puis, c’est ton supérieur !— Justement ! Y a moyen de tirer avantage de la situation… Il y a des réponses que je voudrais bien faire, mais je sais que ça ne tournerait pas à mon avantage. Car si mon homme me propose ce genre de chose, c’est à cause de ma récente grossesse qu’il n’avait pas désirée. Décidément, je me suis fichue dans une sale situation avec mon envie de maternité ! Jamais il n’aurait osé évoquer ce type de truc inconvenant, il y a quelques mois. Jamais. — En clair, tu veux que j’allaite la petite devant lui.— Voilà !— Juste une question, mon cher mari…— Oui, vas-y…— Comment tu présentes la chose à ton cher sous-directeur ?— Ah… Euh, tu ne pourrais pas t’en occuper ? Espèce de lâche ! Je ne suis pas d’accord, je le lui dis à ma façon, mais sans trop hausser le ton : — C’est TON idée… ...

... et puis c’est TOI qui travailles avec, pas moi. Je veux bien faire la plus grosse partie du boulot en jouant les exhibitionnistes, mais tu peux au moins amorcer le mouvement ! T’imagines franchement que je vais me pointer à ton boulot, dans son bureau, lui demander s’il veut mater mes seins ?— OK, OK… mais tu es partante ?— Ça ne m’enchante pas trop, mais s’il faut en passer par là pour améliorer le futur ordinaire…— Très bien ! De plus, rien que l’idée que ce con de sous-directeur puisse baver devant tes gros lolos… ça me… enfin, je me comprends.— Ça te fait bander ? Mon mari rigole franchement : — On va le dire comme ça ! Puis sa phrase à peine achevée, il se jette gloutonnement sur mon sein gonflé de lait, pour continuer son incongrue tétée jusqu’à ce qu’il se lasse. La bite bien tendue qu’il me met sous le nez indique clairement le changement de tétée qu’il souhaite. Docile, j’avale posément la quasi-totalité de sa queue pour lui offrir une suave sucette comme je sais les faire et comme il les aime. Je n’ai pas besoin de me forcer beaucoup pour qu’il jaillisse dans ma bouche, inondant ma gorge de son sperme chaud et poisseux. Bien sûr, je me fais un plaisir de tout avaler puis de nettoyer. Il me regarde faire avec une évidente satisfaction. « Crois-moi, mon Philou, je vais te faire regretter le fait de partir loin de moi, tu vas voir ! » Je chiale comme une madeleine, je ne sais pas pourquoi, mes larmes coulent toutes seules sans que je puisse les arrêter. Mes deux grands ...