1. Retour en arrière


    Datte: 12/09/2017, Catégories: ffh, couplus, alliance, volupté, Oral préservati, pénétratio,

    ... pouvait être sauvé. Marina accepta son offre, mais décréta que la seule chose qui pouvait être envisagée était la rupture. — Ils ne m’ont pas entendue lorsque je suis rentrée, j’ai entendu des rires et des soupirs, elle avait l’air de bien prendre son pied, et quand je suis rentrée dans la chambre, il était en train de la prendre comme une chienne.— N’y pense plus, il ne te mérite pas.— Le mieux, c’est de prendre un petit verre, ensuite nous mangerons et cela ira mieux. Ta sœur va te préparer la chambre.— Vous êtes super, sans vous je ne sais pas ce que j’aurais fait. Pendant que ma femme s’occupait de la chambre, je lui servis un petit whisky, sachant que ce n’était pas son apéritif favori, mais misant sur le fait qu’un alcool un peu plus fort l’aiderait à oublier, momentanément du moins, ses soucis. — Dis donc, tu veux m’enivrer ?— Pourquoi pas ? Bois, je pense que ça ira mieux ensuite. Aurélie nous rejoignit et s’assit à côté de sa sœur. Je pris place dans le fauteuil en face et admirai le spectacle qui m’était offert. Aurélie était vêtue d’une robe d’intérieur bleu ciel, très vaporeuse, qui ne faisait aucun mystère de sa totale nudité, tant elle épousait les formes de ma déesse. Marina, quant à elle, portait une délicieuse mini robe jaune pâle boutonnée sur le devant comme je les aime, légère comme la plume, bien échancrée et laissant admirer sa si jolie poitrine. Son petit soutien-gorge blanc à dentelles semblait offrir deux merveilleuses oranges à qui voudrait les ...
    ... cueillir. On devinait sous la robe un magnifique tanga en dentelle assorti au reste. Les pleurs avaient cessé et une discussion âpre me confirma que les chances du fautif de récupérer la belle étaient quasi nulles. Entre temps, Marina me tendit son verre pour que je la resserve, ce que je fis après avoir interrogé du regard ma chérie qui me fit un signe affirmatif. Notre présence, et aussi certainement l’alcool, firent que notre invitée se mit à table avec plaisir et mangea de très bon appétit, d’autant plus que j’avais sorti, pour l’occasion, un excellent médoc, deuxième cru de saint-julien auquel nous fîmes tous les trois honneur. Une fois la table débarrassée, je proposai aux deux sœurs de nous détendre au salon où elles pourraient continuer leur discussion. Cette fois-ci, je vins me mettre sur le canapé, à droite de mon épouse alors que Marina se mettait à gauche. La discussion entre elles était animée, elles en étaient à se remémorer les vacances passées pendant leur adolescence et les problèmes que posait leur différence d’âge pour les sorties le soir. Tout en écoutant distraitement, je caressai la cuisse de ma princesse, remontant doucement la robe légère. Elle avait replié ses jambes sous elle et Marina ne pouvait ignorer les attentions dont son aînée faisait l’objet. Je la regardai avec plus d’attention et m’aperçus qu’une adorable rougeur ornait ses joues. Restait à savoir ce qui en était la cause, le trajet de ma main sur les cuisses de sa sœur ou la chaleur de l’alcool ...
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