1. 14 juin 2012


    Datte: 13/09/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio, humour,

    ... pas tellement c’était obscur.— Moi je n’ai jamais rien compris aux plaisanteries de François.— Quel déchirement pour vous quand il est parti, le volage, hein Ségolène ! J’connais ça.— Oh c’est du passé, tout cela ! Savez-vous que quelqu’un a dit, à propos de notre débat d’il y a cinq ans, que c’était un mauvais dialogue entre deux cocus ?— Nous n’avons pas été très bons, en effet.— Non. Le nombre de sous-marins lanceurs d’engins, l’électricité nucléaire…— L’immigration, les banlieues…— Les impôts !— Et ta fausse colère à propos des gamins débiles ! Tiens, je t’ai tutoyée. Excuse, c’est l’habitude, j’tutoie tout le monde, tu l’sais bien.— Oui, Nicolas. Mais je suis contente que tu me tutoies. Tu ne m’en veux donc pas trop de t’avoir battu ?— Ségolène… Tu permets que je m’assoie sur le lit, à côté de toi ?— Mais fais comme chez toi, Nicolas.— Ségolène, je peux bien te le dire maintenant mais pendant notre dernier débat, quand j’ai perdu pied parce que tu parlais de la niche fiscale des pipiers de Saint-Claude…— Oui, Nicolas, continue.— …j’ai pensé à Bill et à la stagiaire, dans le bureau ovale du collègue.— Ah !— Non, Ségolène ! Je viens de te mentir, excuse-moi. C’est à toi que j’ai pensé, évidemment. Ton :Ah ! de déception - c’était bien ça, hein, ta réaction ?— Oui, Nicolas, je dois le confesser. Alors c’est à moi que tu as pensé, vraiment, Nicolas ?— Ségolène, depuis que je t’ai vue à la télé en robe presque transparente, au milieu d’un cercle de militants, voilà plus de ...
    ... cinq ans…— Oui, Nicolas ?— Ségolène, je t’aime ! Je suis fou de toi.— C’est bien vrai, Nicolas ? Ah, que je suis heureuse !— Tes lèvres, Ségolène, donne-moi tes lèvres… Oh, qu’est-ce j’aime t’embrasser !— Mumumumuum… Moi aussi.— Ta bouche m’a toujours fasciné. T’as remarqué qu’je regardais qu’elle quand on blablatait à la télé ? Tes dents de nacre…— Ah, tu as fini par lire "La Princesse de Clèves", toi !— Te moque pas. Laisse-moi ouvrir ton corsage.— Tu vas y trouver autre chose que chez ta Carlita.— Me parle plus d’elle, j’te dis ! Oh, qu’est-ce qu’ils sont beaux ! Et sensibles, hein ?— Pas trop de violitude, je te prie. Ne mordille pas !— Mais j’mordille pas ! Pasqu’y en a qui t’ont mordillée, hein ? Ah les cons ! J’les pendrai à un croc de boucher.— J’aime ta fougue. Mais ne déchire quand même pas mon string, je te prie. Et attends que j’ôte ma robe de soie rose. Où puis-je la déposer ?— Balance-la sur la commode. Ah, ça sent bon ! Sensas, ce petit triangle. Taillé pile-poil, comme disait l’autre. Hum, lap, clap, slush, gnonf, gloup, ah, c’que tu mouilles ! C’est moi qui te fais cet effet, hein ?— Aide-moi un peu à descendre ta braguette, ça coince.— J’me dessape vite fait, attends ! … Alors ? Alors, tous les abrutis qui me traitent de nain, ils ont bonne mine, hein ? Touche voir un peu. Profite !— Oh, je ne vais pas que toucher, sois-en sûr, Nicolas, je vais goûter ! Hum, harpf, humpf, gloup…— Stop ! On finit à la papa, maintenant. Depuis le temps que j’attendais ça ! Hopla ...