14 juin 2012
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
humour,
... que je te convoquerai. De temps en temps. Quand je voudrai. Tu aurais pu t’habiller, au lieu de bavarder.— J’ai encore envie de toi. Regarde, je suis raide comme la justice !— On n’a pas que ça à faire. Il faut me passer les consignes. Tu aurais pu enlever tes chaussettes, quand même. Enfin ça nous fait gagner un peu de temps maintenant. Et tu m’as cogné le front avec ta belle montre, j’ai un bleu maintenant. Allez, dépêche-toi ! On y va.— Mais oui, je te suis !— La salle à manger, le salon de réception, le couloir…— C’est vrai que t’as un beau cul, Ségolène. Quand tu marches vite, et qu’il bouge comme ça, oh putain, c’que j’bande, moi, en te suivant !— Gamin, va ! Allez, assis-toi en face de moi. Il est bien, ce fauteuil présidentiel, taillé pour moi, pour mon postérieur qui te plaît tellement… Qu’est-ce qu’il y a dans cette sacoche de cuir noir, là, sur cette chaise ? Je la reconnais, elle était portée par un joli garçon qui te suivait partout, toujours.— Les commandes de la force nucléaire. Au cas où…— Fais voir. Pose sur le bureau. Merci. …Oui, je l’ouvre ! Et alors, j’ai bien le droit, quand même, maintenant ! À quoi sert ce petit bouton rouge ? Il me rappelle quelque chose, ce petit bouton d’amour…— Non, NON ! … Ah, fallait pas appuyer dessus !— Et pourquoi, je te prie ?