14 juin 2012
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
humour,
... ! …’tain, ça rentre comme dans du beurre !— Et pourtant c’est énorme ! Oh, comme cela me fait du bien de t’avoir en moi, mon Nicolas ! Comme tu me remplis à merveille ! Tu resteras longtemps, dis ?— Le plus possible, t’en fais pas ! Mais enfin, pas un quinquina quand même !— Tu veux dire un quinquennat ?— Peut-être. Mais bavarde pas, participe !— Mais je par… Ah, oh, c’est bon, c’est bon, c’est bon… Oh là là, oh là là ! Ouh, ouh !— Ouais, pour moi aussi… Han, han. Tiens, tiens… Han, et han… Et allez j’envoie le tout. Ah, c’que c’est bon !— Oh oui, oui, oui… … — Alors, heureuse ?— Comblée ! Il faudra remettre ça de temps en temps. Je te convoquerai.— Ah !— Il y a quelque chose qui ne va pas ?— Ben, ct’à dire qu’je pensais…— Oui, qu’est-ce vous pensiez, Monsieur l’encore Président ?— Ben… rester ici, quoi ! Qu’tu m’épouses. Le temps qu’je divorce une troisième fois et hop…— On en reparlera plus tard. Où est la salle de bains ? Par ici ? C’est bien, je reviens dans un instant.— … Ségolène ?— Oui ?— Tu as un cul d’enfer.— Hein ?— Tu as un cul d’enfer !— Je sais. Mais je suis intelligente, aussi.— L’cageot de Lille a bien fini par l’comprendre. Comme tu les a tous baisés ! Ah putain, c’était balèze. Sauf que moi aussi, à la fin… Enfin, j’me rattrape aujourd’hui.— Quoi ?— Rien ! Déjà finie, ta douche ?— Il n’y a pas que cela à faire. Je m’habille et nous retournons au bureau. Je veux savoir quelles sont les négociations internationales en cours. Elle était à Carla, cette pâte ...
... destinée à faire grossir les seins ?— Ben oui. T’en a pris ?— Je n’en ai nul besoin, moi. Et les miens, ils ne louchent pas.— Les siens sont légèrement divergents, j’te l’accorde, un peu comme les yeux d’Jean-Paul Sartre. Putain, quand je pense qu’elle m’a obligé à lire "Les Mots" !— Et Cécilia, elle était encore plus plate !— Ben oui mais…— Mais tu l’aimais.— Ben oui, quoi ! Mais tu vas pas être jalouse de mes ex ?— Il y aurait trop de travail ! Je m’en moque bien de tes ex !— Mais toi, tu penses encore à François ?— Seulement quand je songe à sa défaite aux primaires ! Ah, que c’était bon ! Grâce à tous les nouveaux adhérents à dix euros…— Ouais, t’as bien joué.— Mais toi aussi tu ne t’es pas mal débrouillé. Que des nuls autour de toi, personne pour te faire de l’ombre !— Christine Boutin…— Arrête, je m’étrangle de rire ! … Quand même, ton fils Jean a bien failli se présenter contre toi. Dans cinq ans, je vous aurai tous les deux en face de moi, au premier tour. Je te le parie. Et au second, un seul ! C’est qu’il est mignon, ton fils, tu sais !— Il me ressemble.— En plus grand.— J’aime pas qu’on parle de ça. Chirac et l’autre grand con, qui n’arrêtaient pas de me traiter de nain ! T’as vu c’que j’leur ai foutu sur la gueule, devant les tribunaux ? … Mais attends un peu, tu parles de mon fils, t’aurais pas envie, des fois, qu’il me remplace ici, dans cinq ans ?— Qu’il te remplace où ?— Ben, dans ce lit !— Mais tu n’y seras plus, dans ce lit, mon petit.— Tu m’as dit…— Je t’ai dit ...