1. Le Boss - Chapitre 1


    Datte: 25/11/2019, Catégories: fh, ffh, hplusag, Collègues / Travail lunettes, fsoumise, fdomine, hdomine, fsodo, sm, confession,

    Quand j’ai accepté ce nouveau travail, je me suis crue plus forte que je ne suis. La première fois que je suis entrée dans son bureau, c’était pour l’entretien final. J’avais une petite appréhension. Rien à côté de la boule qui me tord le ventre aujourd’hui à chaque appel. Recrutée par un chasseur de têtes, j’avais rencontré la DRH, une blonde très stricte d’une quarantaine d’années, restait à voir le directeur. Une entrevue pour la forme, m’avait dit la DRH : Jean-Yves Varmois lui faisait toute confiance sur le choix de ses collaborateurs. J’allais donc faire connaissance de l’homme avec qui j’allais devoir travailler en étroite concertation au quotidien, puisque je devenais son assistante directe. Varmois est à la tête d’une holding discrète et prospère : audits, conseil en restructurations et management d’entreprises, il compte parmi ses clients les plus grosses boites du CAC40. Il est à l’image dessuccess stories de ce début du XXIème siècle : beau mec élégant d’un peu moins de cinquante ans, plein d’humour et d’énergie, dur et inflexible dès qu’il parle business. Travailler pour un homme comme ça me semblait une aubaine, l’occasion d’apprendre avant de monter ma propre structure. Et au bout du compte, oui, j’ai appris. Autant sur le management que sur la façon dont un anus finit par s’assouplir. Mais je ne me suis pas présentée. Léa Lomont, 26 ans, sciences-po Paris, HEC, 3 ans à Yale, un premier boulot d’assistante dans une firme d’avocats à Boston, et retour à ...
    ... Paris. Je suis très jolie et je le sais : les filles me détestent, c’est un signe qui ne trompe pas. Du haut de mon mètre soixante-quinze tombent de longs cheveux noirs dont je suis très fière, autant que de mes grands yeux clairs mis en valeur par des lunettes aux verres anti-reflets. Une pratique régulière du sport me permet de conserver des formes souples mais arrondies là où il le faut : ma poitrine ne déborde pas mais sa ligne est naturellement relevée, et mes fesses peuvent hypnotiser n’importe quel mâle, même le plus exigeant. Cela pourrait sembler parfait, à un détail près dont j’ai pris conscience vers la fin de mon adolescence : je suis du genre qui fait peur aux mecs. À la fois trop belle et trop intelligente pour eux. Résultat, je ne me fais draguer que par des ringards ou des crétins avec une très haute opinion d’eux-mêmes. J’ai donc pris des habitudes de prédatrice. Lorsqu’un homme me plaît, je l’entraîne par la cravate et je m’en amuse jusqu’à ce qu’il me lasse. Je conçois le sexe comme une nécessité fort agréable, et je mène toujours le jeu. Et si un homme ne me fait pas jouir le premier soir, il n’y a jamais de deuxième. Et j’ai toujours eu une règle d’or : ne jamais mélanger le cul et le boulot. Jusqu’à maintenant. La porte s’est refermée et je suis restée seule avec Varmois. Il était dans son grand fauteuil de cuir noir et gris, quatre ordis ouverts sur son bureau. Il ne disait rien et me fixait avec un petit sourire. Il me détaillait, de mesLouboutin à talons ...
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