Le Boss - Chapitre 1
Datte: 25/11/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
hplusag,
Collègues / Travail
lunettes,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
fsodo,
sm,
confession,
... pour que je me penche sur le bureau jusqu’à y poser mes coudes, les papiers sous le nez. Sa main se glissait à l’intérieur de mes cuisses pour les écarter légèrement. Il finit de relever ma jupe pour dégager parfaitement mes fesses. Cette fois il ne pouvait pas regarder ailleurs. Je le savais. Aucun homme ne pouvait résister à la vision de mon cul. Il devait être fasciné, peut-être même hésitant. Et au bout du compte, ca ne pouvait pas rater, il allait me baiser debout, pliée en deux sur son bureau. Eh bien soit, pourquoi pas ? Je commençai à lire le contrat. J’avais les compétences juridiques nécessaires pour m’apercevoir qu’il était parsemé de formulations ambigües dont je comprenais maintenant l’objet. Je prêtai à peine attention au bruit de son pantalon tombant sur ses chaussures, et c’est l’esprit dans l’alinéa 3 du point 7 que je sentis son gland frotter contre mes lèvres, caressant de haut en bas, cherchant le lubrifiant naturel que je ne me rendais pas compte excréter. Ce contact fut comme un choc électrique. Je réalisai que ce sale type et tout son cinéma avaient réussi à m’exciter. Je voulais le contrôle et mon corps me trahissait : je mouillais comme une lycéenne devant unboys band. Sa main gauche vint se plaquer contre mon visage : il m’enfonçait mon string dans la bouche. À la même seconde, les doigts de son autre main, enduits de ce qui devait être sa salive, vinrent appuyer sur mon petit trou. Son majeur tenta de se glisser à l’intérieur. Je me suis raidie. ...
... Le jeu était terminé. Je n’ai jamais autorisé un garçon à me sodomiser, et ça n’allait pas commencer aujourd’hui. Beaucoup avaient essayé, de façon plus ou moins directe. Ça allait du « Oups désolé j’ai glissé, je me suis trompé de trou. », ce qui valait une baffe, à « Comment tu peux savoir que tu n’aimes pas puisque tu n’as jamais essayé ? », ce qui en valait deux en raison de l’air suffisant qui accompagnait généralement la remarque. J’ai donc voulu me retourner, mais Varmois me maintenait solidement. Sa voix d’une étrange douceur vibrait à mon oreille. — Allez directement au point 16, et lisez à voix haute. Il ne touchait plus à mon petit trou, j’acceptai donc de conserver la position et, rajustant mes lunettes, je tournai quelques pages. Le point 16 était celui concernant la rémunération. Je lus d’une voix hésitante. — 14 000 euros nets par mois ?!? Mais ch’est… Pas très digne, mon élocution. J’étais gênée par le string toujours dans ma bouche. Un liquide froid coulait lentement dans la raie de mes fesses qu’il écartait avec le pouce et l’index de sa main gauche. — Ça peut être mérité, dit-il calmement en poussant son gland contre mon anus couvert de lubrifiant. Dans ma tête, tout allait très vite. Pour la première fois de ma vie sexuelle, je n’avais pas un contrôle total de la situation : une partie de moi-même en était folle de rage, alors qu’une autre partie, je dois l’avouer, en était terriblement excitée. Je pouvais encore refuser ce boulot et m’en aller. Je pouvais ...