1. Le Boss - Chapitre 1


    Datte: 25/11/2019, Catégories: fh, ffh, hplusag, Collègues / Travail lunettes, fsoumise, fdomine, hdomine, fsodo, sm, confession,

    ... hauts à mon strict tailleurDolce & Gabbana, évitant mon visage et mon regard. Pas suffisant pour me mettre mal à l’aise. J’avais mis des fringues de marque : plus on est bien habillée, plus on peut discuter haut concernant le salaire. Et mes ambitions étaient très élevées. Il ne disait toujours rien, cherchait-il volontairement à créer un malaise ? Sans y avoir été invitée, j’allai m’asseoir dans le fauteuil face à son bureau. — Debout. Sa voix était ferme, basse, posée. Je fus surprise par son manque de politesse. On est tellement habitué aux conventions sociales… — Pardon ?— Debout. Je ne vous ai pas dit de vous asseoir. Mon premier réflexe a été de me relever, en effet, mais pour partir. Hors de question de bosser avec un type aussi infect. J’atteignais la porte lorsqu’il reprit la parole. — On vous a annoncé un salaire net à 3500 euros, n’est-ce pas ? Ce sera 8000. Sans compter les primes. Là, je suis restée séchée. Je me suis retournée lentement. Il se foutait de moi ? Il me proposait une fortune ! Toujours impassible, il tapotait un dossier. — Études brillantes, parfaitement bilingue, intelligente et glaciale, c’est exactement ce que je cherchais. Donnez-moi votre culotte. Aucun homme n’était jamais parvenu à me déstabiliser. Dans ma tête tout allait très vite :« Ce mec veut me sauter. C’est un pervers. Mais fascinant. Et plutôt beau gosse. Pour un poste à 8000 euros par mois. Est-ce que je vais me vendre ? Certainement pas. » Mais je n’avais plus envie de partir. Je ...
    ... le mettrai à mes genoux, comme les autres. Et ce sera amusant. Ma décision était prise : j’allais jouer. Je remontai la jupe de mon tailleur très naturellement, comme si j’étais seule, en mettant le moins possible d’érotisme dans ce geste. Je devinais ses yeux rivés sur mes cuisses, suivant chaque centimètre de la progression rapide du tissu. Je lui révélai un très charmant string noir de dentelle : j’aime autant les sous-vêtements que les vêtements, je ne porte que de jolies choses. Sans hésitation ni hâte, je baissai mon string, mon regard cherchant le sien. Je m’attendais à ce qu’il soit hypnotisé par mon minuscule ticket de métro et la naissance de mes lèvres qui se révélaient, mais j’eus la surprise de trouver son regard braqué dans le mien. Un fin sourire flottait sur son visage. Il ne regardait pas mon sexe mais mes yeux : j’étais en train de perdre cette première bataille du pouvoir. Je finis d’enlever mon string, en équilibre sur une jambe pour le passer par-dessus mon haut talon. Sans chercher à rabaisser la jupe tirebouchonnée autour de ma taille, j’avançai jusqu’à son bureau et le lui tendis. Il le prit et contourna le bureau, la dentelle à la main. — Bien. Vous êtes donc également une pute, Léa Lomont. Une qualité remarquable. Laissez-moi vous souhaiter la bienvenue dans notre société. Votre contrat de travail est là, sur le bureau. Vous allez le signer maintenant, après l’avoir soigneusement relu. Il me désignait le contrat, un stylo, tout en appuyant sur mon dos ...
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