Le Boss - Chapitre 1
Datte: 25/11/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
hplusag,
Collègues / Travail
lunettes,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
fsodo,
sm,
confession,
... l’envoyer se faire foutre. Pourquoi restai-je immobile et silencieuse ? Il estima sans doute que le temps de réflexion avait été suffisant, et il se mit en devoir de rentrer dans mes fesses. Poussant sans douceur, m’écrasant contre le bureau, il commença à m’investir. Je sentais mon muscle se dilater doucement. Drôle de sensation, ni agréable ni douloureuse. Le gland entra entièrement. Cette fois j’avais un peu mal, mais rien de terrible encore. Il s’arrêta. — Alors, que faisons-nous ? Vous avez une dernière chance de remettre votre culotte ailleurs que dans votre bouche et de sortir d’ici maintenant. Je ne répondis rien. Mon petit trou me brûlait un peu, la sensation était étrange, un peu douloureuse mais pas trop. Mon cerveau était en feu lui aussi. Pourquoi étais-je en train de laisser un type que je ne connaissais pas une heure avant glisser son sexe dans mon anus ? Pour l’argent ? Non, certainement pas. Mon profil me permettait de gagner ma vie très convenablement, je n’avais pas besoin des sommes folles qu’il me proposait. Je devais être cinglée. Pour garder un semblant deself control, je pris une voix glaciale et méprisante, un effet complètement anéanti par le string qui occupait ma bouche. — Je chuis venue signer un contrat de travail. Finissez-en avec votre petit jeu que nous puissions passer à la suite. En réponse, il agrippa fermement mes hanches et reprit sa progression. Je sentais son sexe dilater mes entrailles et je me retins de hurler de douleur. Il n’était ...
... ni doux ni attentionné, il cherchait surtout à établir un rapport de force. Il plantait sa bite dans mon rectum comme on plante un clou : fermement, inexorablement. Je mordis dans le string. Il s’arrêta un moment. Il devait être au bout. Non, il finit d’une dernière poussée qui m’arracha un cri. Je m’en voulus de le lui avoir accordé. Il resta fiché au fond. Je n’avais pas vu sa queue, mais je pouvais sentir qu’elle était de belle taille, ou tout au moins très large. Il me remplissait le ventre et je devais me contrôler pour ne pas laisser mes jambes trembler. Je ne pouvais le voir mais je l’imaginais sourire, contemplant son membre fiché en moi. — Vous n’avez manifestement pas l’habitude d’être sodomisée. C’est rare chez les jeunes filles de votre génération. Je suis heureux de vous aider à remédier à ce handicap. Je savais quelle conduite tenir. Il était trop tard pour le virer de mon cul et m’en aller. Y aurais-je gagné en dignité, alors que j’avais déjà accepté mon string dans la bouche et son sexe au plus profond de mes entrailles ? Je devais le laisser continuer. Mais surtout rester impassible, ne plus prononcer le moindre son. Ne pas autoriser mon corps à exprimer la moindre sensation, il en aurait été trop heureux. Ce qui me faisait le plus peur était que je me sentais de plus en plus réactive. L’image de mon cul, anneau ouvert enserrant sa queue, flottait à la limite de ma conscience comme un aphrodisiaque puissant et la sensation était maintenant au-delà du troublant ...