1. Le Boss - Chapitre 1


    Datte: 25/11/2019, Catégories: fh, ffh, hplusag, Collègues / Travail lunettes, fsoumise, fdomine, hdomine, fsodo, sm, confession,

    ... : malgré, voire à cause de la douleur qui s’estompait déjà, j’aimais la présence de ce sexe en moi. Je le fantasmais énorme, parcouru de veines, un pieu monstrueux auquel j’offrais ma croupe comme une vierge antique l’aurait tendue à Priape. Mais il était hors de question de lui montrer que son ascendant pouvait m’apporter le moindre plaisir. Je devais le traiter par le mépris. Je conservai le silence. Il ressortit entièrement, lentement, et me maintint ouverte. Il glissait quelque chose à l’intérieur. Il vidait du lubrifiant directement dans mon petit trou. Puis il présenta à nouveau son sexe. Il revint au fond d’un coup. Il se mit à effectuer de puissants allers et retours. Il m’enculait. Je me faisais enculer. Comme n’importe quelle pétasse des cités dans les toilettes d’une boîte de nuit. Comme n’importe quelle bourgeoise sur le retour en l’absence de son mari. Moi, la belle et fière Léa Lomont, j’étais son enculée. Le mot tournait en boucle dans mon esprit. La douleur n’avait pas disparu, mais elle n’était pas insurmontable. Je ne ressentais pas particulièrement de plaisir physique, mais étrangement je jouissais de cet abandon. Je n’avais plus à dominer, à contrôler, non je pouvais me relâcher : je me laissais enculer comme la dernière des putes. Je flottais en un relâchement jusque là étranger à ma nature. Jean-Yves Varmois n’était plus un collégien éjaculant au premier émoi. Il m’imposait son rythme et avait clairement l’intention de prendre son temps. Une main ...
    ... plaquée sur chacune de mes fesses, il les maintenait grandes ouvertes. Ses allers-retours dans mon rectum étaient lents et réguliers, puissants et implacables. — Les termes de ce contrat vous semblent-ils clairs ?— Ils le sont.— Parfait, vous pouvez donc parapher chaque page puis signer les deux exemplaires. Je pouvais voir par-dessus mes lunettes le stylo, à quelques centimètres de mon nez, sur le bureau. Pour l’attraper, je dus relever un peu mon buste et me cambrer encore plus. Il pilonnait toujours mon cul devenu insensible, comme anesthésié. Mon cerveau avait retrouvé sa froideur coutumière. Je parcourus une dernière fois le document, concentrée sur son contenu. Mes connaissances juridiques me permettaient de comprendre clairement que je renonçais en toute connaissance de cause à toute poursuite concernant le harcèlement sexuel. Ce type m’enculait et comptait le refaire aussi souvent qu’il le souhaiterait, c’était très clair. Je paraphai chaque page, profitant de l’instant où à chaque aller retour il dégageait un peu son sexe de mon rectum pour apposer une signature qui ne tremblait pas. — Appelez madame Bertin, qu’elle vienne récupérer les contrats. Sa ligne directe est le 208. Toujours dans la même position, je décrochai de son support son téléphone et composai le numéro de la DRH. Varmois avait un peu accéléré le rythme et je dus faire un grand effort de contrôle pour maîtriser ma voix. Malgré tout, elle était un peu chevrotante. — Monsieur Varmois vous demande dans chon ...
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