1. L'amour en monospace


    Datte: 13/09/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... troqué son short et son tee shirt pour une robe légère lui arrivant à mi-cuisses, si bien qu'en prenant possession du siège avant, ses longues jambes étaient presque entièrement découvertes. Reynald se sentit déjà durcir. "Elle est chaude comme la braise, ça va être un festival", se dit-il. Il avait déjà son idée. D'abord, trouver un coin tranquille. Sandrine avait l'amour bruyant et il fallait qu'elle puisse s'exprimer sans entraves, d'où le problème au gite rural. Ensuite, il suffirait d'ouvrir la cinquième porte de la 5008 familiale, d'étendre la couverture qu'il avait subrepticement subtilisée dans une armoire, et l'ensemble offrirait un nid d'amour parfait. L'expérience n'avait encore jamais été tentée et cela apporterait un piment supplémentaire. - Où m'emmènes-tu ? interrogea Sandrine. - Dans un endroit où nous serons tranquilles et où tu ne craindras pas d'attraper des tiques, répondit Reynald. A quelques kilomètres du gîte, il s'engagea dans une "draille" caillouteuse en faisant attention à ce qu'il ne s'agisse pas d'un chemin de randonnée et aboutit à une sorte de clairière isolée de Dieu et des hommes. Le soleil tapait dur mais l'air était délicieusement frais. - Voilà, on sera très bien ici, dit-il, avant de descendre, d'ouvrir la cinquième porte et d'étaler la couverture dans le vaste coffre, sans même rabattre le siège arrière. Quand elle vit l'installation, Sandrine parut se détendre : - Chéri, c'est génial et ça va me rappeler notre jeunesse... Le couple ...
    ... s'enlaça, s'embrassa, se frotta, debout contre la voiture. Sandrine vérifia l'érection de son mari, déjà bien avancée et s'accroupit pour lui baisser son short et son slip. Ils étaient à peine arrivés qu'elle lui taillait déjà une pipe, d'une bouche vorace, en le regardant d'en bas, droit dans les yeux, comme si elle voulait lui signifier qu'elle le tenait à sa merci. Reynald s'en méfiait. Il avait parfois prématurément éjaculé dans ce genre de circonstance, tant Sandrine était ardente à la succion, et il fallait garder des réserves pour la combler en cet après-midi de liberté. Il se mit nu et invita Sandrine à s'asseoir à côté de lui sur le bord du coffre. Sa main gagna son entre-cuisses, ô surprise dépourvue de culotte. Avant de partir, Sandrine s'était mise à l'aise et le doigt de Reynald rencontra une fente humide qu'il se mit à explorer, à écarter et à préparer à une introduction invasive. Il était doté en effet d'une queue fine et d'une longueur inusitée, qui n'avait pas été pour rien dans la séduction exercée quelques années auparavant auprès de la jeune fille déjà chaude qu'était Sandrine. Reynald était alors réputé auprès de la gent féminine pour ses qualités de baiseur, la longueur de son pénis lui permettant de visiter des régions jusqu'alors inexplorées. Mais Sandrine, une fois qu'elle lui avait mis le grappin dessus, ne l'avait plus lâché. Précisément, celle-ci branlait ledit pénis pendant que son mari lui chatouillait le clito, tous deux assis à l'intérieur du hayon. ...
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