L'amour en monospace
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... double pénétration ? Allez, dis-le que ça te plairait. - Oui oui, j'aimerais ça... - Tu voudrais vraiment qu'on te baise à deux ? - Oui... oui... continue... continue... Reynald cognait dur et les peaux claquaient. Il poursuivit : - Tu voudrais qui avec moi, hein ? - M'en fous. Une belle bite, comme la tienne. Encore... encore... Reynald pétrissait ses hanches tout en limant de plus belle ce cul profond et continua à l'exciter verbalement : - Deux bites en même temps, hein, tu aimerais ça, cochonne ! C'est ton fantasme, hein ? - Oui... oui... Reynald se sentait de plus en plus survolté, de plus en plus long, et cognait dur dans le rectum béant de Sandrine qui bramait de plus en plus fort dans l'habitacle. - Et une troisième bite à sucer, hein, ça te plairait aussi ? - Oui... oui, encore... encore... - Salope ! Cochonne... tu... ah, je jouis, je jouis ! Et Reynald explosa dans le tréfonds de son épouse qui, sentant le chaud liquide gicler, virevolta de la croupe en serrant ses sphincters, comme pour l'essorer, si bien que le couple eut quelques difficultés à se détacher avant de s'affaler rompu et essoufflé sur la couverture posée dans le hayon. Après avoir repris un peu ses esprits, Reynald lâcha : - Eh ben, quelle partie de cul ! Tu t'es vraiment lâchée, c'était génial. - Gros cochon ! Tu m'as fait dire des choses... euh... insensées. - Insensées, vraiment ? C'est la femelle qui a parlé en toi. - Macho ! Emmène-moi plutôt quelque part où je pourrai me laver de toutes tes ...
... turpitudes ! J'ai envie d'un bain de siège après tout ce que tu m'a fait subir. Mais la moue satisfaite de Sandrine démentait l'aigreur de ses propos. Quand elle eut renfilé sa robe sur son corps nu et se fut assise dans la 5008, jambes entrouvertes, tout en elle respirait la femelle au sortir de l'amour, prête à recommencer. Reynald stoppa un peu plus tard auprès d'une petite rivière et le couple, après s'être habitué à l'eau froide, put nettoyer les traces du coït encore chaud. Reynald surprit le regard énamouré de Sandrine sur son pénis mais il se sentait vidé et dans l'incapacité de l'honorer une seconde fois comme visiblement elle l'espérait. - Bon maintenant, il faut trouver une pharmacie, qu'on puisse rentrer à la maison avec une excuse valable, dit-il. - Dommage... se contenta de répondre Sandrine. Beaucoup plus tard, le couple fit son entrée dans le gîte et s'attira les réflexions prévues : - Eh ben, vous en avez mis du temps. - On a dû aller à Mende, tout était fermé dans le coin. Mais cette fois, j'ai mes granules, expliqua Sandrine avec un aplomb qui épata Reynald. L'entourage du couple constata qu'elle avait retrouvé une humeur badine, un sourire rayonnant, de la gaité dans le visage et se dit que, décidément, elle en avait besoin, de ces granules... Pendant deux jours, Sandrine fut ainsi joyeuse. Mais le troisième jour, elle commença à se renfrogner. Et Reynald dut encaisser à nouveau sa mauvaise humeur : - J'en ai marre de ce gite. Qu'est-ce qu'on fous ici ? ...