1. Une maison classique


    Datte: 29/11/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail profélève, école, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral sm, fouetfesse, conte, f+prof, bourge,

    Résumé des trois épisodes précédents : Severin, amateur de livres osés, voit sa passion croiser son nouveau travail et sa nouvelle patronne. Ses rêves littéraires se voient donner vie dans cet institut de formation, où il croise élève dissipée, secrétaire moqueuse et directrice abusive. Après avoir dû discipliner une élève, il assiste à l’interrogatoire d’un élève contrit puis doit affronter sa directrice. Il a ensuite droit à la formation à domicile d’une de ses élèves, où il doit gérer les relations troubles de cette famille. La mère lui donne rendez-vous à l’écurie. Severin finit le cours avec Florence, puis se dirige, aussi curieux qu’excité, vers les écuries. Il entend des bruits étranges provenant d’un box. Il s’approche silencieusement et voit alors madame Hill dans sa même tenue d’amazone gémissant doucement, la main enfouie dans ses jodhpurs, se caressant… Il rentre dans ce grand box et regarde la scène, cette grande et belle dame, se caressant devant cet étalon, splendeur d’indécence. Elle s’arrête, puis se retourne soudain, écarlate. — Mais, que faites-vous là… Vous… Severin ne dit rien, mais il a vu la cravache de la dame, accrochée près de lui. Il la prend. Il regarde à nouveau la dame, muette, le souffle court, sa jolie poitrine gonflant davantage le corsage duquel un bouton de trop est défait. Elle essaie de se camper sur ses jambes, mais elle sait que le jeune homme l’a vue. — Ne serait-ce pas l’instrument que vous m’avez présenté trop brièvement tout à ...
    ... l’heure ? Celui que vous comptiez utiliser pour ma leçon ici ?— Allons, rendez-la moi, vous ne sauriez pas vous en servir sur une femme comme moi, je l’ai bien senti.— Ah oui ? Une femme comme vous ? Une dame vicieuse qui se caresse ici, gémissant comme la pire des filles de ferme ? Tout en parlant, Severin s’approche de madame Hill, jouant avec la cravache. La dame, elle, semble perdre contenance sous les paroles de Severin. Elle ne bouge plus. — Vous avez l’habitude que l’on vous obéisse, comme ce cheval. Et ce petit professeur timide et si facile à allumer, ce sera un plaisir, avez-vous pensé… Il est vrai qu’avec cet instrument, on doit arriver à des résultats stupéfiants sur les caractères les plus rétifs… Tout en parlant, Severin passe le bout de la cravache sur les cuisses de madame Hill, sur ses hanches, glisse sur son ventre, ce qui la fait creuser le ventre, puis remonte entre les seins. Il écarte légèrement les pans du corsage, accentuant le décolleté et découvrant les bords de dentelle noire du soutien-gorge. Elle esquisse alors un mouvement de révolte, tentant de s’esquiver. Il la gifle. — Ne bougez pas ! Elle le regarde avec plus de surprise que de douleur. — Ne me dites pas, Madame, que vous ne méritez pas ce qui va vous arriver, après cette exhibition devant le professeur de votre fille. Elle a un regard apeuré, se frottant toujours la joue. — Vous connaissez mes méthodes, madame Barnier vous en a parlé.— Ooui…— Et que vous en a-t-elle dit ?— Que… que vous saviez ...
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