Une maison classique
Datte: 29/11/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
profélève,
école,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
sm,
fouetfesse,
conte,
f+prof,
bourge,
... vous faire obéir de vos élèves.— Ah oui ? Et comment cela ? Comment puis-je arriver à me faire obéir de ces donzelles ?— Je… je ne sais pas… Severin lui prend alors le menton et la force à regarder dans ses yeux. — Allons, madame, une femme comme vous, sachant si bien manier ceci(il lui flatte les reins avec la cravache, parle-t-il de ses reins ou de la cravache…) doit savoir comment on obtient l’obéissance.— Oh, vous n’oseriez pas, pas vous…— Tiens, pas moi ? Un autre aurait déjà osé ? Ou bien une autre ?— Oh, comment… Taisez-vous !— Nous verrons cela… Mais j’attends votre réponse. Il la prend par la nuque, la main sous la queue de cheval et son autre main passe le bout de la cravache sur la poitrine, la gorge, les lèvres de la dame. L’orgueil s’efface de son regard qu’elle doit donner à Severin. Celui-ci se sent de plus en plus excité, son jean le serre, et le corps de cette femme l’affole. Mais il veut sa revanche. Ces dames en ont trop souvent pris à leurs aises avec lui, avec son orgueil. — Alors ? Que mérite une vicieuse comme vous ?— Oh… Fess… corrigez-moi… Il la lâche et se recule d’un pas. Elle est toujours debout, mais effondrée. La dame fière n’est pas loin d’être une magnifique créature sans volonté. — Baissez vos jodhpurs. La culotte aussi. La femme se baisse, soudain maladroite, fait glisser le pantalon moulant sur ses cuisses. Severin regarde la femme, plongeant le regard sur la poitrine qu’elle montre en se baissant. Les jodhpurs sont roulés sur les bottes, la ...
... culotte entrave les jambes et la dame lève les yeux, belle dans sa honte. — Roulez les pans de votre corsage pour qu’ils ne gênent pas. Oui, libérez bien vos reins. Severin se sent de plus en plus grisé par la docilité de la femme. Il s’approche. — À genoux, madame.— Non, pas comme ça… Severin passe la cravache entre les cuisses nues de la dame, remonte sur le sexe… — Vraiment ? Il frotte doucement la cravache et reprend le visage de madame Hill pour fixer son regard. Elle essaie de résister, mais son souffle s’accélère, un gémissement s’échappe de ses lèvres humides. — Dites-moi donc comment une dame vicieuse comme vous mérite d’être corrigée. Et vite, avant de devoir jouir devant moi ainsi.— … Ohh… oui… À genoux, cul nu… Oh non… Il s’assoie contre une botte de foin. — C’est bien, ma belle. Alors, qu’attendez-vous ? Elle se laisse tomber, à genoux devant Severin. — Enserrez ma taille de vos bras, et posez votre tête contre mon ventre. Cambrez-vous ! Severin croit devenir fou en sentant la chaleur du visage, de la bouche de madame Hill contre son ventre, mais il regarde la croupe bien offerte et commence à la cingler. À chaque coup, madame Hill gémit et bouge contre Severin, son ventre nu venant frotter contre ses genoux. Après chaque coup, Severin sent son sexe durcir encore plus. Il continue pourtant jusqu’à entendre un cri, la sentir se relâcher, des pleurs sortir de sa bouche. Il lui soulève un peu le visage. Ses yeux sont pleins de larmes, mais le regard est étrange, il ...